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  • Infolettres | CanadaSansFluorure

    Le compte rendu sur le FLUORURE Profitez des archives des infolettres de Canada sans fluorure #26 Rapport sur le fluorure – Le Québec sera sans fluoration avant la fin de l’année 2024! | Prenons conseil auprès de Gilles Parent, ND.A. 25 novembre 2024– NOUVEAU Voir #25 Rapport sur le fluorure – Le jugement de la cour tant attendue...nous avons gagné! | Communiqué de presse | Principaux points a retenir du jugement de la cour 27 septembre 2024 Voir #24 Rapport sur le fluorure – Présentation au conseil de Windsor, Ontario | Remettre les pendules à l’heure 17 mars 2024 Voir #23 Rapport sur le fluorure – Le Dr. Bob prend la parole | Le Dr Bob donne son avis au ministère de la Santé de l’État de Washington 17 mars 2024 Voir #22 Rapport sur le fluorure – Procès historique en cours (lien Zoom) | Communique de presse des FAN 5 février 2024 Voir #21 Rapport sur le fluorure – Aidez à diffuser l’information : Faites l'histoire | Le procès sur le fluorure : La science censurée sur le fluorure et votre santé (vidéo en anglais) 14 janvier 2024 Voir #20 Rapport sur le fluorure – Récapitulatif et état actuel du procès sur le fluorure de l'EPA | La vérité d'un Ph. D. en chimie ( vidéo en anglais) 24 septembre 2023 Voir Webinaire avec Christine Till : Quel est le probleme avec le fluorure? LE BOUTON « VOIR » EST MAINTENANT MIS À JOUR AVEC L'ENREGISTREMENT DU WEBINAIRE (en anglais) 8 mai 2023 Voir #19 Rapport sur le fluorure – Démolir les mythes – Épisode #7 Mythe #7 : Que la fluoration ne m odifiera pas sensiblement l’apport alimentaire en fluor. 15 mars 2023 Voir #18 Rapport sur le fluorure – Espoir pour les Canadiens : Injonction en cours à Montréal | de l’aide pour votre campagne ! 10 février 2023 Voir Le tribunal rejette la tentative de l'EPA de retarder davantage le procès 15 janvier 2023 Voir Avis d'audience zoom de la poursuite contre la fluoration (français sous l'anglais) 10 janvier 2023 Voir #17 Rapport sur le fluorure – Mise à jour importante sur le procès ! | Le gros mensonge de Colgate | La réponse de l'obmudsman de la CBC 15 decembre 2022 Voir #16 Rapport sur le fluorure – Le fluorure : Une cause profonde de dommages aux humains | Fluorure : Source d'acne chronique 15 novembre 2022 Voir #15 Rapport sur le fluorure – La Roulette Russe Aux Raisins : Le Fluorure Trouvé Dangereux Pour les Animaux et les Plantes 15 octobre 2022 Voir Message du Dr Bob – Collecte de Fonds 2022 1 octobre 2022 Voir #14 Rapport sur le fluorure – Démolir les mythes – Épisode #6 Mythe #6 : L’apport sécuritaire optimal en milligramme/par kilogramme de poids/ par jour en fluorure requise pour la santé dentaire est bien connue. 15 août 2022 Voir #13 Rapport sur le fluorure – Démolir les mythes – Épisode #5 Mythe #5 : L’apport sécuritaire optimal en milligramme/par kilogramme de poids/ par jour en fluorure requise pour la santé dentaire est bien connue. 15 juillet 2022 Voir #12 Rapport sur le fluorure – Avertissement : On est devant une attaque sournoise La plus grande menace pour les communautés non fluorées! | Quoi d'autres Canada sans fluorure mijote-il? 15 juin 2022 Voir #11 Rapport sur le fluorure – Démolir les mythes – Épisode #4 Mythe #4 : Qu’une concentration optimale de 0,7 ppm de fluorure dans l’eau potable va assurer l’administration d’une dose quotidienne optimale et sécuritaire en fluorure pour la santé à chaque citoyen, dose ajustée selon son poids, son âge, son sexe, son état de santé, sa diète, son environnement et ses activités physiques, indépendamment de la quantité d’eau consommée. 15 mai 2022 Voir #10 Rapport sur le fluorure – Démolir les mythes – Épisode #3 Mythe #3 : Que l’eau potable est un excellent véhicule pour l’administration d’une dose appropriée de fluorure pour prévenir la carie sans risque pour la santé. 15 avril 2022 Voir #9 Rapport sur le fluorure – Démolir les mythes – Épisode #2 Mythe #2 : Les autorités de la santé connaissent exactement la quantité de fluorure nécessaire chaque jour pour assurer que les cristaux d’apatite de l’émail dentaire seront transformés en un taux suffisant de fluoroapatite pour le rendre résistant à la carie dentaire. 15 mars 2022 Voir #8 Rapport sur le fluorure – Démolir les mythes – Épisode #1 Mythe #1 : Que, les autorités de la santé savent quelle est la concentration optimale de fluorure dans l’émail de la dent pour la rendre résistante à la carie. 25 février 2022 Voir #7 Rapport sur le fluorure – Le biais des médias : Nous n’avons pas l’intention de s’avachir! | Fluoride Free Windsor-Essex 25 janvier 2022 Voir #6 Rapport sur le fluorure – Pouvez-vous fier sur les conseils des « experts » ? 3 decembre 2021 Voir #5 Rapport sur le fluorure – La légalité de la fluoration | Quel est la nature exacte des produits chimiques de la fluoration? 20 novembre 2021 Voir #4 Rapport sur le fluorure – Les échecs à Calgary et à Windsor ne signifient pas la défaite. Soyez patient! | Les promoteurs de fluoration visent maintenant Vancouver, BC 6 novembre 2021 Voir #3 Rapport sur le fluorure – La science perdue à Calgary | Comment a-t-on saboté Safe Water Calgary 22 octobre 2021 Voir #2 Rapport sur le fluorure – Résultats du vote | Vidéo de présentation | Les canadiens défiés par des médias biaisés | Qui est Christine Till? 9 octobre 2021 Voir #1 Alerte médiatique – Votez pour donner un nom à ce bulletin | Vidéo de présentation | Comment la crise de Calgary vous affecte 24th septembre 2021 Voir Suivi de la lettre à M. Trudeau | Invitation à partager vos talents 17th septembre 2021 Voir

  • Vancouver | CanadaSansFluorure

    GROUPE DE TRAVAIL DE L'ONTARIO Brant County Fluoride Free Brant County Facebook Hamilton Fluoride Free Hamilton (20+) Fluoride Free Hamilton | Facebook Lambton Fluoride Free Lambton Facebook London Fluoride Free London Ontario Fluoride Free London Ontario | Facebook Oshawa Fluoride Free Oshawa Facebook Ottawa Fluoridation-Free Ottawa Fluoridation-Free Ottawa - Main Information Page - City of Ottawa - Fluoridation-Free Ottawa Owen Sound Fluoridation Free Owen Sound Fluoridation Free Owen Sound | Facebook Peel Region Fluoride Free Peel Fluoride Free Peel Sudbury Sudburians for a Fluoride Free Sudbury Sudburians For A Fluoride-Free Sudbury | Facebook Toronto End Fluoride Toronto END FLUORIDE TORONTO | Help Us End The Use Of Fluoride Fluoride Free Toronto (20+) Facebook Windsor Fluoride Free Windsor-Essex Fluoride Free Windsor-Essex | Windsor ON | Facebook

  • Terminologie du Infolettre9 | CanadaSansFluorure

    LA TERMINOLOGIE ET LES NOTIONS SCIENTIFIQUES Le compte rendu sur le FLUORURE Numéro #9 Relativement au fluorure, s’il était un oligoélément essentiel, il devrait donc y avoir une dose optimale qui aura un effet bénéfique sur la santé, y compris la santé dentaire et une dose excessive qui deviendra toxique. Ceci nous amène à élaborer sur la terminologie et sur quelques notions scientifiques de base que l’on n’aborde pas souvent dans le débat. Le volumineux rapport du U.S. National Research Council, intitulé Fluoride in Drinking Water, a Scientific Review of EPA’s Standards , publié en 2006 est la plus sérieuse analyse de l’apport en fluorure aux États-Unis en calculant les facteurs de risque. DOSE-RÉPONSE OU DOSE-EFFET On parle de relation dose-réponse ou dose-effet ou encore relation exposition-réponse, pour faire référence aux effets d'une dose d'une substance active, fusse-t-elle un oligoélément, sur un individu ou sur un groupe d'individus. La relation dose-réponse ou dose-effet dépend de plusieurs facteurs, comme l'âge, le poids, l’état de santé ou de la nutrition, la présence d’autres substances toxiques, le type de substance et la durée de l’exposition. La substance peut être de nature médicamenteuse, mais aussi chimique, naturelle ou toxique. Le moment de l’exposition dans le cycle de la vie peut aussi avoir son importance car il est possible que certains produits soient sans effet sur un individu adulte mais qu’ils pourraient être plus bénéfiques, comme on le croit pour le fluorure, durant la formation des dents mais être délétères pour un embryon ou un jeune bébé. La relation dose-réponse doit être étudiée sur tous ses angles pour comprendre l'action d'une substance au niveau de la santé. La relation dose-effet ou relation exposition-réponse ou plus simplement écrite dose-réponse exprime le changement d'effets, sur un organisme, provoqué par une quantité différente de la substance active après un certain temps d'exposition. Elle peut s'appliquer à des individus, par exemple si une petite quantité n'a aucune incidence, alors qu'une dose plus importante peut être mortelle. Dans une population, un certain nombre d’individus peuvent être affectés alors que la majorité ne le sera pas. Des études de pharmacocinétique et de toxicologie permettent de comprendre les mécanismes d’action de la substance et la cible des tissus qui seront touchés. Le concept de dose-réponse est donc au cœur des études scientifiques sur les nutriments, les oligoéléments, les substances toxiques et les contaminants. SEUIL TOXIQUE La notion de seuil toxique s’avère importante pour un nutriment, car elle sert à fixer des normes quant à la quantité optimale pour le maintien de la santé et quant à la quantité à la limite supérieure qui deviendra toxique. La valeur seuil représente la quantité minimale sous laquelle il ne se produit pas d’effet toxique. Au-dessus de ce seuil, l’effet observé dépendra de la dose. Ce seuil s’explique par le fait que le corps humain est constitué d’un grand nombre de types de cellules, de tissus et d’organes ayant une sensibilité variable, certains étant plus sensibles à certaines substances que d’autres. De plus, l’organisme possède des mécanismes de défense, d’excrétion ou d’adaptation mais il y perd toujours, ces mécanismes accaparent conséquemment une partie de son énergie pour y parvenir. Le même principe s’applique à une population d’individus, car l’effet ou les nombreux effets néfastes possibles peuvent se manifester différemment d’une personne à l’autre, pourtant exposées à une même dose d’un nutriment ou d’une substance toxique. DOSE SANS EFFET NOCIF OBSERVABLE (DSENO) De ces concepts de la toxicologie, on a développé une terminologie qui y est associée. Parmi les plus importantes, on doit parler de la dose sans effet nocif observable (DSENO), appelée aussi « dose sans effet toxique », « dose maximale sans effet » ou « dose maximale sans effet néfaste observable ». Comme l’anglais demeure la langue la plus utilisée mondialement dans les publications scientifiques, on utilise l’acronyme NOAEL. : No Observable Adverse Effect Level. Elle se définie comme étant la dose la plus élevée d’une substance ne produisant aucun effet nocif observable au cours d'une étude de toxicité. Cette unité de mesure s’emploie plus particulièrement dans le domaine des faibles doses, donc bien applicable pour le fluorure. LIMITE DE SÉCURITÉ (LSS) On recommande aussi d’utiliser la limite de sécurité (LSS) qui est le niveau maximum qui peut être consommés quotidiennement sur une base chronique sans effets indésirables. Les limites de sécurités seront généralement bien inférieures aux niveaux qui entraîneraient des effets indésirables. Ils servent comme niveaux d’exposition de référence pour l’évaluation des risques pour la santé humaine. C’est la terminologie française – qui correspond en anglais aux termes Tolerable Upper Intake Levels (ULs) publiés par l’Institute of Medicine of the National Academies (IOM). VALEUR TOXICOLOGIQUE DE RÉFÉRENCE (VTR) La valeur toxicologique de référence (VTR) est un indice toxicologique permettant, par comparaison avec l’exposition, de qualifier ou de quantifier un risque pour la santé humaine. Le mode d’élaboration des VTR dépend des données disponibles sur les mécanismes d’action toxicologique des substances et d’hypothèses communément admises. Dans le cas de la toxicité du fluorure, on pourrait prendre la fluorose dentaire modérée comme indice minimal de sa toxicité alors qu’il pourrait bien ne pas être l’indice le plus sensible malgré qu’il est le plus communément accepté. Les valeurs toxicologiques de référence (VTR) sont largement utilisées dans la démarche d’évaluation quantitative des risques sanitaires, processus décisionnel visant à fournir les éléments scientifiques essentiels d’une proposition ou d’une recommandation. DOSE DE RÉFÉRENCE (DR) Un autre terme intimement relié à la valeur toxicologique de référence (VTR) est la dose de référence (DR) qui vise à protéger adéquatement les nourrissons et les enfants mais qui, généralement, n’a pas considéré les embryons. En anglais on emploie les termes de «reference dose (RfD)». Elle se définit comme une estimation de l’exposition quotidienne d’une population humaine (incluant les sous-groupes les plus sensibles) qui serait probablement sans risque appréciable d’effets délétères durant toute une vie. DOSE JOURNALIÈRE ADMISSIBLE (DJA) ou DOSE JOURNALIÈRE TOLÉRABLE (DJT) La dose journalière admissible (DJA) (en anglais : Acceptable Daily Intake ou ADI) ou dose journalière tolérable (DJT) est la quantité d'une substance qu'un individu devrait pouvoir ingérer chaque jour, sans risque pour la santé. Elle est habituellement exprimée en mg de substance par kg de poids corporel par jour (mg/kg/jour). Il faut bien comprendre ici que la dose maximale quotidienne est proportionnelle au poids de l’individu. La consommation maximale est donc, de fait, beaucoup plus faible pour un nourrisson que pour un individu adulte. APPORTS JOURNALIERS RECOMMANDÉS (AJR) Les apports journaliers recommandés (AJR) sont des valeurs-repères de quantité de micronutriment (vitamines et minéraux) nécessaires à la santé d’un adulte-type moyen. Elles sont utilisées en tant que référence pour l'étiquetage des produits alimentaires. Les termes «Valeur nutritionnelle de référence (VNR)», « Apports de référence » « Apports quotidiens de référence » peuvent remplacer le terme « Apports journaliers recommandés » ou « AJR ». DOSE QUOTIDIENNE RECOMMANDÉE La dose quotidienne recommandée revient aussi à ce même concept relativement à un supplément nutritionnel ou à un médicament et elle sera généralement ajustée selon le poids et l’âge du sujet suivant une échelle de doses. FACTEUR DE SÉCURITÉ (FS) Dans le petit segment suivant, nous rapportons un extrait de l’Agence de protection de l’environnement des États-Unis qui reprend les concepts sur lesquels nous venons de fournir les définitions. Elle l’aborde dans une perspective reliée à la fluoration. L’extrait incorpore un autre concept très important en toxicologie, celui du « facteur de sécurité (FS) ». Ce concept octroie une marge de sécurité, généralement de 10, particulièrement essentielle quand les variables impliqués sont nombreux (âge, poids, statut nutritionnel, état de santé, environnement) et que les sources d’apport de la substance étudiée sont multiples et variables, selon les individus, dans leur potentiel de contribution quantitative et dans le temps. DESCRIPTION DE L'APPROCHE TRADITIONNELLE Dans de nombreux cas, les décisions relatives au risque de toxicité systémique ont été prises par l'Agence en utilisant le concept de « dose journalière acceptable (DJA) » dérivée d'une « dose sans effet nocif observé (DSENO) (NOAEL en anglais) » déterminée expérimentalement. La DJA est généralement définie comme la quantité d'un produit chimique à laquelle une personne peut être exposée quotidiennement pendant une période prolongée (généralement toute sa vie) sans subir d'effet délétère. Le concept de DJA a souvent été utilisé comme outil pour prendre des décisions en matière de gestion des risques (par exemple, établir des niveaux admissibles de contaminants dans les denrées alimentaires et l'eau). Une DSENO est une dose déterminée expérimentalement à laquelle il n'y avait aucune indication statistiquement ou biologiquement significative de l'effet toxique préoccupant. Dans une expérience avec plusieurs DSENO, l'accent réglementaire est normalement mis sur le plus élevé, ce qui conduit à l'utilisation courante du terme DSENO comme la dose la plus élevée déterminée expérimentalement sans effet indésirable statistiquement ou biologiquement significatif. La DSENO pour l'effet toxique critique est parfois simplement appelée DSENO. Cet usage, cependant, invite à l'ambiguïté en ce sens qu'il peut y avoir des effets observables qui n'ont pas d'importance toxicologique (c'est-à-dire qu'ils ne sont pas « défavorables »). Par souci de précision, ce document utilise le terme DSENO pour désigner la DSENO la plus élevée dans une expérience. Dans les cas où une DSENO n'a pas été démontrée expérimentalement, le terme « dose minimale avec effet nocif observé (DMENO)» est utilisé. (Lowest-observed-adverse-effect level (LOAEL) en anglais. Une fois l'étude critique démontrant l'effet toxique préoccupant identifiée, la sélection de la DSENO résulte d'un examen objectif des données disponibles sur la substance chimique en question. La DJA est ensuite obtenue en divisant la DSENO appropriée par un facteur de sécurité (FS), comme suit : DJA (dose humaine) = (DSENO) (dose expérimentale)/FS. (Équation 1) Généralement, le FS est constitué de multiples de 10, chaque facteur représentant une zone spécifique d'incertitude inhérente aux données disponibles. Par exemple, un facteur de 10 peut être introduit pour tenir compte des différences possibles de réactivité entre les humains et les animaux dans les études d'exposition prolongée. Un deuxième facteur de 10 peut être utilisé pour tenir compte de la variation de sensibilité parmi les individus de la population humaine. Le FS résultant de 100 a été jugé approprié pour de nombreux produits chimiques. Pour d'autres substances chimiques, dont les bases de données sont moins complètes (par exemple, celles pour lesquelles seuls les résultats d'études subchroniques sont disponibles), un facteur supplémentaire de 10 (conduisant à un FS de 1000) pourrait être jugé plus approprié. Pour certains autres produits chimiques, sur la base de réponses bien caractérisées chez les humains sensibles (comme dans l'effet du fluorure sur les dents humaines ), un FS aussi petit que 1 pourrait être sélectionné. Alors que la sélection initiale des FS semble avoir été plutôt arbitraire (Lehman et Fitzhugh, 1954), l'analyse ultérieure des données (Dourson et Stara, 1983) apporte un soutien théorique (et dans certains cas expérimentaux) à leur sélection. De plus, certains scientifiques, mais pas tous, au sein de l'EPA interprètent l'absence d'effets généralisés dans les populations humaines exposées comme une preuve de l'adéquation des SF traditionnellement utilisés.

  • Endroits | CanadaSansFluorure

    Lire la suite... QUI FLUORENT ET QUI NE FLUORENT PAS ? En 2017, l'Agence de la santé publique du Canada estime qu'environ 13,9 millions de Canadiens (38,7 %) avaient accès à la fluoration de l'eau potable (via l’aqueduc). Le Canada est l'un des pays les plus fluorés au monde. En comparaison, moins de 5,7 % de la population mondiale a son approvisionnement public en eau fluorée. La plupart des nations développées du monde ont rejeté la fluoration, y compris 97 % de l'Europe de l’Ouest. Voici les communautés canadiennes qui ont rejeté la fluoration artificielle de l'eau depuis 1990 Voici les Communautés canadiennes qui fluorent Flags PAYS NON FLUORÉS PAYS FLUORÉS Les liens suivants fournissent un aperçu TRÈS intéressant quant à ce que font et disent les autres pays (en anglais) Déclarations des autorités européennes sur la fluoration de l'eau Le regretté Dr Hans Moolenburgh des Pays-Bas s'exprime (en anglais)

  • Fluorée | CanadaSansFluorure

    Communautés canadiennes qui fluorent On estime qu'il y a encore 170 municipalités au Canada qui fluorent leur eau potable municipale. Parmi les 170 communautés énumérées ci-dessous, 76 de ces municipalités sont situées en ONTARIO et comprennent la plupart des grandes villes urbaines telles que Toronto, des villes de la région du Grand Toronto, Ottawa, Hamilton et London. Les seules grandes villes urbaines des autres provinces qui fluorent leur eau potable municipale sont Edmonton, Halifax, Saskatoon et Winnipeg.

  • Non fluoré | CanadaSansFluorure

    Canadian Communities that have Rejected Artificial Water Fluoridation Since 1990 Communautés canadiennes qui ont rejeté la fluoration artificielle de l'eau depuis 1990 Depuis 1990, on estime qu'il y a plus de 130 communautés à travers le Canada, y compris 3 bases des Forces canadiennes, qui ont rejeté la fluoration artificielle de l'eau. Bon nombre des municipalité se trouvent en Ontario (32), au Québec (28), en Saskatchewan (20), en Colombie-Britannique (17), en Alberta (13) et au Manitoba (11). Certaines des grandes villes urbaines qui ont rejeté la fluoration comprennent : Calgary, Windsor, Waterloo et Québec. Montréal n'a jamais fluoré artificiellement et les propositions de fluoration ont été rejetées en 1988, 1992 et 2009. Vancouver n'a jamais fluoré non plus. Canadian Communities by Province and their Date of Rejection Municipalités canadiennes par province et leur date de rejet

  • Fluorée | CanadaSansFluorure

    Communautés canadiennes qui fluorent On estime qu'il y a encore 170 municipalités au Canada qui fluorent leur eau potable municipale. Parmi les 170 communautés énumérées ci-dessous, 76 de ces municipalités sont situées en ONTARIO et comprennent la plupart des grandes villes urbaines telles que Toronto, des villes de la région du Grand Toronto, Ottawa, Hamilton et London. Les seules grandes villes urbaines des autres provinces qui fluorent leur eau potable municipale sont Edmonton, Halifax, Saskatoon et Winnipeg. Fluoridated Communities by Province / Les municipalités qui fluorent par province

  • Non fluoré | CanadaSansFluorure

    Canadian Communities that have Rejected Artificial Water Fluoridation Since 1990 Communautés canadiennes qui ont rejeté la fluoration artificielle de l'eau depuis 1990 Depuis 1990, on estime qu'il y a plus de 130 communautés à travers le Canada, y compris 3 bases des Forces canadiennes, qui ont rejeté la fluoration artificielle de l'eau. Bon nombre des municipalité se trouvent en Ontario (32), au Québec (28), en Saskatchewan (20), en Colombie-Britannique (17), en Alberta (13) et au Manitoba (11). Certaines des grandes villes urbaines qui ont rejeté la fluoration comprennent : Calgary, Windsor, Waterloo et Québec. Montréal n'a jamais fluoré artificiellement et les propositions de fluoration ont été rejetées en 1988, 1992 et 2009. Vancouver n'a jamais fluoré non plus. Canadian Communities by Province and their Date of Rejection Municipalités canadiennes par province et leur date de rejet

  • Procès | CanadaSansFluorure

    LA POURSUITE AMÉRICAINE CONTRE LA FLUORATION DE L’EAU — Food and Water Watch, et al. vs Agence de protection de l’environnement LE POINT SUR LE PROCÈS - 19 SEPTEMBRE 2022 La prochaine audience sur le statut de notre procès fédéral du Toxic Substances Control Act (TSCA) (de la Loi sur le contrôle des substances toxiques) contre l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA) pour mettre fin à l'utilisation de produits chimiques de fluoration était initialement prévue pour mardi, le 20 septembre prochain, mais il a de nouveau été reportée par la Cour. Bien que je soupçonne que vous soyez aussi frustrés que nous tous ici au Fluoride Action Network (FAN) à propos de ce retard de deux ans depuis la tenue de notre procès, nous avons des nouvelles prometteuses. Premièrement, la prochaine audience devant la Cour est désormais prévue pour jeudi 20 octobre, 2022 à 13h30 (heure du Pacifique) / 16h30 ((heure de l’Est). Deuxièmement, l'audience d'octobre devrait être plus qu'une mise à jour typique de la situation des deux parties. Depuis deux ans, la Cour est en attente de la publication finale de la révision des études sur la neurotoxicité du fluorure du National Toxicology Program (NTP). Cette publication finale était attendue à la fin de 2021, puis promise à nouveau en début d'année, mai étant la date de sortie tant attendue. Cependant, le mois de mai est venu et est reparti sans aucun signe du rapport final du NTP. Pour cette raison, la Cour a continué de reporter nos audiences sur la cause tout au long de l'été. En réponse à ce report indéfini, les avocats du FAN ont déposé la semaine dernière une requête demandant à la Cour de mettre l'affaire en suspens et de la relancer avec un deuxième procès abrégé pour examiner les dernières études scientifiques et la révision des études du NTP. Le rapport du NTP est l'aboutissement d'années de recherche et de travail et il a déjà fait l'objet d'au moins trois révisions par les pairs. Il n'y a plus de justification raisonnable pour attendre que les pouvoirs en place décident quand, ou si, ils doivent le rendre public. Nous estimons qu'il y a suffisamment de preuves disponibles dans les rapports préliminaires du NTP déjà publiquement accessibles et dans le nouveau matériel publié depuis le début du procès de juin 2020 pour terminer l'affaire et pour que la Cour rende une décision. Nous sommes convaincus que les preuves sont également fortement en notre faveur, y compris celles issues de la révision du NTP. En bref, nous avons patiemment attendu que les National Institutes of Health et le NTP finalisent cette révision sur la neurotoxicité du fluorure. Nous avons fini d'attendre. Il est temps que justice soit rendue, et nous espérons que l'audience d'octobre nous rapprochera de cette fin. Merci pour votre soutien continu, Stuart Cooper Directeur exécutif Fluoride Action Network

  • Fluorée | CanadaSansFluorure

    Communautés canadiennes qui fluorent On estime qu'il y a encore 170 municipalités au Canada qui fluorent leur eau potable municipale. Parmi les 170 communautés énumérées ci-dessous, 76 de ces municipalités sont situées en ONTARIO et comprennent la plupart des grandes villes urbaines telles que Toronto, des villes de la région du Grand Toronto, Ottawa, Hamilton et London. Les seules grandes villes urbaines des autres provinces qui fluorent leur eau potable municipale sont Edmonton, Halifax, Saskatoon et Winnipeg. Les municipalités qui fluorent par province

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