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QUÉBEC 99,75 % SANS FLUORURE

En octobre, 2024, l’article suivant a été envoyé à chaque conseiller de
Pointe-Claire, de Dorval, de Baie d’Urfé, de Dollard-des-Ormeaux et de Montréal

LES RECHERCHES SCIENTIFIQUES RECENTES LEVENT DE MULTIPLES DRAPEAUX ROUGES
SUR L’INNOCUITE ET L’EFFICACITÉ DE LA FLUORATION

 

Depuis 75 ans, la fluoration de l’eau potable nous a été présentée par nos autorités de la santé, y compris par Santé Canada et par nos ministères de la santé provinciaux, comme une mesure de santé publique absolument sécuritaire et particulièrement efficace s’appuyant sur des milliers de recherches scientifiques.

 

Toutefois, en 2000, la publication de  révision de la littérature scientifique du NHS Centre for Reviews and Dissemination, de l’University of York, intitulée A Systematic Review of Public Water Fluoridation (McDonagh et alt.) nous a fait réaliser qu’il n’y avait que 39 études sur l’efficacité et 176 sur l’innocuité de la fluoration –  beaucoup moins que les «milliers d’études»  souvent cité supportant la fluoration. En plus, d’après les auteurs, la majorité de ces études étaient de piètre qualité.

 

La science n’avait pas dit son dernier mot sur le sujet non plus: un nombre croissant d’études et de révisions récentes ont soulevé des drapeaux rouges qui remettent sérieusement en question à la fois l’innocuité et l’efficacité de la fluoration

 

Les conseils municipaux qui se sont fiés de bonne foi aux autorités de la santé pour fluorer leur eau potable sont maintenant confrontés à un dilemme des temps modernes.  Cette science récente a démontré que le fluorure et la fluoration artificielle de l’eau sont neurotoxiques, en particulier pour nos bébés et nos enfants. Les preuves de dommages causés à de nombreux autres organes et systèmes de notre corps humain continuent de s'accumuler rapidement, tandis que les preuves de l'inefficacité de cette pratique désuète sont désormais accablantes.

 

En regard de ces répercussions négatives sur le quotient intellectuel des enfants, les recherches récentes sur la fluoration sont inquiétantes.

 

Veuillez prendre en considération la liste concise et abrégée des principaux drapeaux rouges ci-dessous, puis demandez-vous : pouvons-nous, de bonne foi, éthiquement et moralement, continuer avec cette pratique désormais prouvée nocive et dangereuse et inefficace?

 

DRAPEAUX ROUGES SUR L’INEFFICACITE DE LA FLUORATION

 

Une affirmation particulièrement erronée est que la fluoration réduit la carie dentaire de 25 %. Cette statistique circule depuis plus de 20 ans mais n’est plus étayée par les recherches actuelles. De nouvelles études telles que la révision systématique de la Cochrane Collaboration d’octobre 2024, l'étude de cohorte rétrospective LOTUS  de 2024, menée sur 10 ans portant sur plus de 6 millions de participants, et l'étude de cohorte longitudinale prospective CATFISH  de 2022, montrent que l'efficacité de la fluoration dans la réduction de la carie dentaire est plus proche de 2 % et certainement moins que 4%. De plus, contrairement aux prétentions constamment avancées, les populations défavorisées n’en tirent pas plus d’avantages que les riches.

 

DRAPEAUX ROUGES SUR LA NEUROTOXICITE DE LA FLUORATION

 

  1. La Cour fédérale du district Nord de Californie : après 7 ans d’un procès scientifique, a statué que la fluoration « présente un risque déraisonnable de réduction du QI chez les enfants » et a ordonné à l'Agence de protection de l’environnement des États-Unis (EPA) de prendre des mesures pour éliminer ce risque. (25 septembre 2024)
     

  2. La révision du National Toxicology Program (NTP) : le plus haut comité d'analyse scientifique des États-Unis sur les substances potentiellement toxiques a conclu que des concentrations plus élevées de fluorure dans l'eau « sont systématiquement associées à un QI plus faible chez les enfants ». Le NTP a cité que 18 des 19 études de la plus haute qualité établissent un lien entre un apport en fluorure plus élevé et un QI plus faible, plusieurs à des concentrations recommandées pour l'eau fluorée. (21 août, 2024)
     

  3. Dr Linda Birnbaum, PhD, directrice à la retraite du Programme national de toxicologie : « Il est temps de protéger le cerveau en développement des enfants du fluorure. » (Environmental Health News, 10/7/20)
     

  4. Dr. Dimitri Christakis, MD, pédiatre, rédacteur en chef du JAMA, Journal of the American Medical Association Pediatrics : «Je ne laisserais pas ma femme boire de l'eau fluorée si elle était enceinte.» (Washington Post, 20/08/19)
     

  5. Dr. Hardy Limeback, PhD, DDS, ancien président de l'Association canadienne de recherche dentaire, ancien doyen de la chaire de dentisterie préventive à l'Université de Toronto et un des douze experts du rapport sur le fluorure du US National Research Council (2006) : « Les preuves selon lesquelles la fluoration est plus nocive que bénéfique sont désormais accablantes.» (Communication personnelle 27/09/24)
     

  6. American Academy of Environmental Medicine : « La fluoration a été considérée comme l'une des dix grandes réalisations en matière de santé publique. La fluoration est plus probablement l'une des dix pratiques de santé publique les plus dangereuses dans ce pays et dans le monde. » (site Web consulté le 24/10/24)
     

  7. Food and Water Watch : « La décision [de la Cour fédérale] d'aujourd'hui représente une reconnaissance importante d'un nombre important et croissant de données scientifiques indiquant de graves risques pour la santé humaine associés à l'eau potable fluorée.» (25/09/24, Site Web consulté le 2/10/24)

 

DRAPEAU ROUGE SUR LA CONFUSION DES AUTORITES SUR LE CONCEPT DE LA DOSE DE FLUORURE

 

Les autorités de la santé ont fixé la concentration idéale de fluorure dans l’eau potable à 0,7 mg/litre comme si le concept d’une concentration de fluorure dans l’eau déterminait la dose (milligramme par jour) consommée par chaque individu d’une communauté fluorée. La dose d’un médicament ou d’un nutriment dissous dans un liquide n’est pas déterminée par le seul paramètre de la concentration mais à la fois par les deux paramètres essentiels: la concentration et la quantité du liquide consommée. Comme il y a une grande variabilité d’eau consommée telle quelle et utilisée pour la préparation des aliments, il y a une très grande variabilité de la dose de fluorure consommée d’un individu à l’autre.

 

En nutrition, en pharmacologie et en toxicologie, il faut aussi tenir compte du poids du sujet, il faut donc mesurer l’apport en milligramme/kilogramme/jour (mg/kg/j). En plus de l’eau fluorée, il y a d’autres sources d’exposition au fluorure dont le thé et les produits d’hygiène dentaire contenant des concentrations souvent très élevée en fluorure. Conséquemment dépendant de ce que l’on mange et boit, beaucoup individus pourrait être par inadvertance surexposés au fluorure avec des effets délétères sur leur santé.

 

LE DRAPEAU ROUGE SUR CLASSIFICATION LEGALE DES PRODUITS DE FLUORATION

 

La classification légale d’une substance détermine son usage et sous quelle autorité gouvernementale cette substance sera approuvée et réglementés. Les produits chimiques de fluoration sont ajoutés essentiellement pour prévenir la carie dentaire en modifiant la composition de l’émail de la dent. Conséquemment, l’unique objectif de la fluoration est donc thérapeutique.

 

Les produits ayant un usage et une allégation thérapeutique sont définis dans la Loi sur les aliments et drogues comme devant obligatoirement et légalement appartenir soit à la classification légale de médicaments ou soit de produits de santé naturels. Ils devraient alors être homologués et réglementés comme tels par Santé Canada.

 

Étonnamment, ce n’est pas le cas pour les produits chimiques de fluoration.

 

Les autorités de la santé comparent plutôt les fluorures ajoutés à l’eau potable comme appartenant à la classification légale des nutriments pour la fortification des aliments comme le sont la vitamine D ajoutée au lait ou le fer ajouté à la farine. Les nutriments pour la fortification des aliments sont aussi sous la juridiction de Santé Canada.

 

Toutefois, vous serez peut-être surpris d’apprendre que Santé Canada ne réglemente pas les produits chimiques de fluoration comme des sources de fluorure pour la fortification de l’eau potable.

 

Demandée de s’expliquer par le processus d’une pétition (299, 299B et 299C) auprès du Commissaire à l’Environnement au Bureau du Vérificateur général du Canada, Santé Canada a affirmé ne pas approuver et ne pas réglementer les produits chimiques servant à la fluoration parce qu’ils étaient de simples produits de traitement de l’eau potable et que les produits de traitement de l’eau sont de juridiction provinciale. Les fluorures servant à la fluoration de l’eau ne sont donc pas homologués pour un usage thérapeutique de prévenir la carie dentaire.

 

Environnement Canada, le ministère fédéral qui gère les matières toxiques et dangereuses, classe et contrôle justement les produits chimiques de fluoration dans la classification légale des matières dangereuses et corrosives. Il a aussi fixé le seuil toxique de la concentration en fluorure à 0,12 ppm pour la protection de la faune et la flore en eau douce, alors que la concentration des effluents d’une municipalité est 3 à 4 fois plus élevée. Prendre note que celle de l’eau potable fluorée est de 0,70 ppm, 6 fois le seuil toxique pour cet environnement. Déjà la concentration de l’eau du fleuve Saint-Laurent se situe autour de 0,15 ppm, dépassant la norme du seuil critique de 0,12 ppm.

 

Quelle est donc la classification légale du fluorure que les conseils municipaux ont décidé de mettre dans notre eau ? Les municipalités ajoutent-elles une substance classée légalement comme un produit de traitement de l’eau ou comme une substance dangereuse et toxique dans un but de prévention de la carie dentaire chez leurs citoyens ?

 

DRAPEAUX ROUGES SUR LA LEGALITE DE LA FLUORATION

 

La Loi sur les aliments et drogues ne permet pas que :

 

  1. Soit attribué un rôle et une allégation thérapeutique à une substance non homologuée et non réglementée par Santé Canada;
     

  2. Cette substance administrée à des humains avec un objectif thérapeutique ne soit pas manufacturée, empaquetée, transportée et entreposée dans des conditions de salubrité requises pour un médicament ou une source d’un nutriment pour la fortification par Santé Canada.

 

Les gouvernements provinciaux au Canada exigent que les produits de fluoration soient conformes à la norme établie par la National Sanitation Foundation (NSF) et cette certification NSF exige que les tests de toxicologie qui en démontre l’innocuité aient été réalisés or la National Sanitation Foundation  ou les autorités gouvernementales n’ont pas effectué et n’ont pas ces tests.

 

Les produits de fluoration ne sont donc pas conformes à la certification et ils ne respectent pas les exigences de la loi.

 

DRAPEAUX ROUGES SUR L’ETHIQUE MEDICALE DE LA FLUORATION

 

  1. Administrer une substance légalement classée comme produit de traitement de l’eau ou comme substance toxique et dangereuse à toute une population dans un but thérapeutique est toute une entorse à l’éthique médicale.
     

  2. L’accroc à l’éthique médicale s’amplifie lorsque la substance prétendue thérapeutique n’est même pas homologuée et réglementée par Santé Canada.
     

  3. L’éthique médicale n’accepte pas non plus que l’on ne prenne même pas le soin d’informer chaque personne soumise au traitement de la nature  réelle et légale exacte du produit, de son insalubrité et de ses risques pour la santé.
     

  4. L’éthique médicale ne tolère pas plus que l’on administre le dite substance sans obtenir un consentement du sujet. (Respect de la Chartre des droits et libertés)
     

  5. L’éthique médicale ne permet encore moins que l’on n’évalue pas ni l’âge, ni le poids, ni le sexe, ni l’état de santé et ni les besoins de chaque sujet avant de lui administrer une dose d’autant plus aléatoire du remède puisque l’on ne contrôle pas la quantité d’eau consommée.
     

  6. Durant un traitement, l’éthique médicale exige aussi de faire un suivi médical individuel et régulier afin d’évaluer ses effets positifs ou négatifs afin d’assurer la suppression du traitement si des effets délétères survenaient. La fluoration n’offre pas de possibilité équitable et abordable de retrait du traitement et encore faudrait-il que le sujet ait été informé des effets délétères de la fluoration pour cesser la consommation d’eau fluorée.

 

La municipalité, les autorités de la santé, le médecin ou le dentiste traitant  et le sujet lui-même n’imaginent même pas que la dose de fluorure à laquelle il pourrait être exposé, dans une municipalité dont l’eau est fluorée à une concentration optimale, puisse avoir des effets délétères sur sa santé.

 

L’efficacité et l’innocuité de la fluoration était, jusqu’à ce jour, un dogme que même la science n’avait pas le droit de contester. Avec les études  et les révisions scientifiques récentes citées ci-haut ne serait-il pas le temps de revoir la fluoration ?

 

SUR QUELLES AUTORITES PEUT-ON SE FIER POUR PRENDRE UNE DECISION ECLAIREE SUR LA FLUORATION ?

 

Si toutes les autorités de la santé sur lesquelles vous vous fié ne vous ont pas encore informés de tous ces troublants drapeaux rouges soulignés ici, c’est qu’il y a un véritable enjeu. Vous ne pouvez pas prendre une décision politique éclairée vis-à-vis la fluoration sans prendre connaissance de ces drapeaux rouges.

 

Comment ce fait-il que vous n’ayez pas encore été mis au courant de ces drapeaux rouges? Plusieurs des drapeaux rouges sont des évidences qui ne demandent que du gros bon sens. Tout membre d’un conseil municipal a cette compétence.

 

Comme plusieurs des études scientifiques ont été publiées progressivement au cours des dernières années, il peut leur être difficile d’en tirer une conclusion claire à première vue et pouvoir prendre une décision quant à l’avenir de sa politique face à la fluoration. Souvent cela requiert des analyses et des révisions extensives par des groupes d’experts, des experts qui n’ont pas de partie pris ou qui sont prêts à modifier leurs préjugés devant des évidences, on l’espère.

 

Devant la lenteur de réactions publiques des autorités de la santé canadiennes face aux nouvelles révélations scientifiques sur le fluorure, on peut donc supposer soit que qu’elles n’aient pas les compétences nécessaires pour en faire une analyse sérieuse, les experts sur le fluorure sont rares, ou soit qu’elles cherchent, présentement, à défendre, au prix de la santé de votre communauté, une mesure de santé publique discutable dont elles se sont faites les plus grandes promotrices et instigatrices. Admettre une erreur n’est pas chose facile !

 

LE POUVOIR DES MUNICIPALITES EN MATIERE DE FLUORATION

 

Étant donné que se sont les municipalités qui prennent la décision de fluorer l’eau potable, elles en  portent l’entière imputabilité quant à l’innocuité de la fluoration car ce sont elles qui en décident ainsi, par résolution. Contrairement à l’impression que l’on peut vous avoir donné, aucun autre gouvernement supérieur au Canada n’a accepté d’en prendre la  responsabilité légale.

 

Les gouvernements supérieurs ont délégués aux municipalités la responsabilité légale et politique de la fluoration malgré qu’elles n’aient nullement la compétence d’en évaluer scientifiquement le bien-fondé et ni le loisir d’en porter le blâme et le fardeau financier, en cas de poursuites pour dommages et intérêts.

 

Le jugement de la Cour fédérale du district Nord de Californie suite à un procès de 7 ans et la révision des études sur l’effet du fluorure sur le cerveau concluent que le fluorure est neurotoxique. Il serait difficile de trouver une opinion contraire mieux informée.

 

Les autres drapeaux rouges telles les études qui démontrent l’inefficacité de la fluoration et les aspects légaux et éthiques de fluoration viennent peser encore plus lourd dans la balance des motifs pour mettre fin à la fluoration, ne fusse que par principe de précaution.

 

Les municipalités n’ont aucune permission à demander pour mettre fin à la fluoration, ce pouvoir leur appartient.

 

Nous sommes disposés à bientôt vous rencontrer et/ou à discuter de cette question cruciale et urgente. Comme le dossier est complexe, nous sommes prêts à prendre le temps de s’assoir avec vous, avec respect et d’approfondir le sujet pour que vous puissiez avoir l’information la plus objective possible et prendre une décision éclairée par la suite. Nous sommes en mesure de vous fournir les documents ou les références à des centaines d’études et révisions scientifiques comme nous le faisons ici.

 

Devant la gravité des découverte scientifiques récentes, pour le bien de nos enfants, le moins que vous puissiez faire est d’imposer rapidement un moratoire sur cette pratique qui se révèle dangereuse et de donner un avertissement clair aux femmes enceintes et à celles ayant des enfants en bas âge, jusqu’à ce que l’opinion d’experts des deux côtés puisse être entendue.

 

Merci pour votre temps et votre attention sur cette question importante et urgente.

 

Robert C Dickson MD, CCMF, FCFP

FONDATEUR de Safe Water Calgary.

www.safewatercalgary.com

Président de Fluoride Free Canada /Canada sans fluorure.

www.fluoridefreecanada.ca

Conseil d'administration, ABC (Associacion Buen Commune, organisation mère du Projet Ixcanaan).

www.ixcanaan.com

 

Gilles Parent, ND.A.

Membre fondateur de Fluoride Free Canada /Canada sans fluorure.

https://www.fluoridefreecanada.ca/fr

Coauteur avec M. Pierre Jean Morin, Ph.D. en médecine expérimentale et Maitre John Remington Graham, avocat, de La fluoration : autopsie d’une erreur scientifique, 2005 et Fluoridation : Autopsy of a Scientific Error, 2010.

Conseiller expert sur la fluoration à Eau Secours.

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