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  • Terminologie du Infolettre9 | CanadaSansFluorure

    LA TERMINOLOGIE ET LES NOTIONS SCIENTIFIQUES Le compte rendu sur le FLUORURE Numéro #9 Relativement au fluorure, s’il était un oligoélément essentiel, il devrait donc y avoir une dose optimale qui aura un effet bénéfique sur la santé, y compris la santé dentaire et une dose excessive qui deviendra toxique. Ceci nous amène à élaborer sur la terminologie et sur quelques notions scientifiques de base que l’on n’aborde pas souvent dans le débat. Le volumineux rapport du U.S. National Research Council, intitulé Fluoride in Drinking Water, a Scientific Review of EPA’s Standards , publié en 2006 est la plus sérieuse analyse de l’apport en fluorure aux États-Unis en calculant les facteurs de risque. DOSE-RÉPONSE OU DOSE-EFFET On parle de relation dose-réponse ou dose-effet ou encore relation exposition-réponse, pour faire référence aux effets d'une dose d'une substance active, fusse-t-elle un oligoélément, sur un individu ou sur un groupe d'individus. La relation dose-réponse ou dose-effet dépend de plusieurs facteurs, comme l'âge, le poids, l’état de santé ou de la nutrition, la présence d’autres substances toxiques, le type de substance et la durée de l’exposition. La substance peut être de nature médicamenteuse, mais aussi chimique, naturelle ou toxique. Le moment de l’exposition dans le cycle de la vie peut aussi avoir son importance car il est possible que certains produits soient sans effet sur un individu adulte mais qu’ils pourraient être plus bénéfiques, comme on le croit pour le fluorure, durant la formation des dents mais être délétères pour un embryon ou un jeune bébé. La relation dose-réponse doit être étudiée sur tous ses angles pour comprendre l'action d'une substance au niveau de la santé. La relation dose-effet ou relation exposition-réponse ou plus simplement écrite dose-réponse exprime le changement d'effets, sur un organisme, provoqué par une quantité différente de la substance active après un certain temps d'exposition. Elle peut s'appliquer à des individus, par exemple si une petite quantité n'a aucune incidence, alors qu'une dose plus importante peut être mortelle. Dans une population, un certain nombre d’individus peuvent être affectés alors que la majorité ne le sera pas. Des études de pharmacocinétique et de toxicologie permettent de comprendre les mécanismes d’action de la substance et la cible des tissus qui seront touchés. Le concept de dose-réponse est donc au cœur des études scientifiques sur les nutriments, les oligoéléments, les substances toxiques et les contaminants. SEUIL TOXIQUE La notion de seuil toxique s’avère importante pour un nutriment, car elle sert à fixer des normes quant à la quantité optimale pour le maintien de la santé et quant à la quantité à la limite supérieure qui deviendra toxique. La valeur seuil représente la quantité minimale sous laquelle il ne se produit pas d’effet toxique. Au-dessus de ce seuil, l’effet observé dépendra de la dose. Ce seuil s’explique par le fait que le corps humain est constitué d’un grand nombre de types de cellules, de tissus et d’organes ayant une sensibilité variable, certains étant plus sensibles à certaines substances que d’autres. De plus, l’organisme possède des mécanismes de défense, d’excrétion ou d’adaptation mais il y perd toujours, ces mécanismes accaparent conséquemment une partie de son énergie pour y parvenir. Le même principe s’applique à une population d’individus, car l’effet ou les nombreux effets néfastes possibles peuvent se manifester différemment d’une personne à l’autre, pourtant exposées à une même dose d’un nutriment ou d’une substance toxique. DOSE SANS EFFET NOCIF OBSERVABLE (DSENO) De ces concepts de la toxicologie, on a développé une terminologie qui y est associée. Parmi les plus importantes, on doit parler de la dose sans effet nocif observable (DSENO), appelée aussi « dose sans effet toxique », « dose maximale sans effet » ou « dose maximale sans effet néfaste observable ». Comme l’anglais demeure la langue la plus utilisée mondialement dans les publications scientifiques, on utilise l’acronyme NOAEL. : No Observable Adverse Effect Level. Elle se définie comme étant la dose la plus élevée d’une substance ne produisant aucun effet nocif observable au cours d'une étude de toxicité. Cette unité de mesure s’emploie plus particulièrement dans le domaine des faibles doses, donc bien applicable pour le fluorure. LIMITE DE SÉCURITÉ (LSS) On recommande aussi d’utiliser la limite de sécurité (LSS) qui est le niveau maximum qui peut être consommés quotidiennement sur une base chronique sans effets indésirables. Les limites de sécurités seront généralement bien inférieures aux niveaux qui entraîneraient des effets indésirables. Ils servent comme niveaux d’exposition de référence pour l’évaluation des risques pour la santé humaine. C’est la terminologie française – qui correspond en anglais aux termes Tolerable Upper Intake Levels (ULs) publiés par l’Institute of Medicine of the National Academies (IOM). VALEUR TOXICOLOGIQUE DE RÉFÉRENCE (VTR) La valeur toxicologique de référence (VTR) est un indice toxicologique permettant, par comparaison avec l’exposition, de qualifier ou de quantifier un risque pour la santé humaine. Le mode d’élaboration des VTR dépend des données disponibles sur les mécanismes d’action toxicologique des substances et d’hypothèses communément admises. Dans le cas de la toxicité du fluorure, on pourrait prendre la fluorose dentaire modérée comme indice minimal de sa toxicité alors qu’il pourrait bien ne pas être l’indice le plus sensible malgré qu’il est le plus communément accepté. Les valeurs toxicologiques de référence (VTR) sont largement utilisées dans la démarche d’évaluation quantitative des risques sanitaires, processus décisionnel visant à fournir les éléments scientifiques essentiels d’une proposition ou d’une recommandation. DOSE DE RÉFÉRENCE (DR) Un autre terme intimement relié à la valeur toxicologique de référence (VTR) est la dose de référence (DR) qui vise à protéger adéquatement les nourrissons et les enfants mais qui, généralement, n’a pas considéré les embryons. En anglais on emploie les termes de «reference dose (RfD)». Elle se définit comme une estimation de l’exposition quotidienne d’une population humaine (incluant les sous-groupes les plus sensibles) qui serait probablement sans risque appréciable d’effets délétères durant toute une vie. DOSE JOURNALIÈRE ADMISSIBLE (DJA) ou DOSE JOURNALIÈRE TOLÉRABLE (DJT) La dose journalière admissible (DJA) (en anglais : Acceptable Daily Intake ou ADI) ou dose journalière tolérable (DJT) est la quantité d'une substance qu'un individu devrait pouvoir ingérer chaque jour, sans risque pour la santé. Elle est habituellement exprimée en mg de substance par kg de poids corporel par jour (mg/kg/jour). Il faut bien comprendre ici que la dose maximale quotidienne est proportionnelle au poids de l’individu. La consommation maximale est donc, de fait, beaucoup plus faible pour un nourrisson que pour un individu adulte. APPORTS JOURNALIERS RECOMMANDÉS (AJR) Les apports journaliers recommandés (AJR) sont des valeurs-repères de quantité de micronutriment (vitamines et minéraux) nécessaires à la santé d’un adulte-type moyen. Elles sont utilisées en tant que référence pour l'étiquetage des produits alimentaires. Les termes «Valeur nutritionnelle de référence (VNR)», « Apports de référence » « Apports quotidiens de référence » peuvent remplacer le terme « Apports journaliers recommandés » ou « AJR ». DOSE QUOTIDIENNE RECOMMANDÉE La dose quotidienne recommandée revient aussi à ce même concept relativement à un supplément nutritionnel ou à un médicament et elle sera généralement ajustée selon le poids et l’âge du sujet suivant une échelle de doses. FACTEUR DE SÉCURITÉ (FS) Dans le petit segment suivant, nous rapportons un extrait de l’Agence de protection de l’environnement des États-Unis qui reprend les concepts sur lesquels nous venons de fournir les définitions. Elle l’aborde dans une perspective reliée à la fluoration. L’extrait incorpore un autre concept très important en toxicologie, celui du « facteur de sécurité (FS) ». Ce concept octroie une marge de sécurité, généralement de 10, particulièrement essentielle quand les variables impliqués sont nombreux (âge, poids, statut nutritionnel, état de santé, environnement) et que les sources d’apport de la substance étudiée sont multiples et variables, selon les individus, dans leur potentiel de contribution quantitative et dans le temps. DESCRIPTION DE L'APPROCHE TRADITIONNELLE Dans de nombreux cas, les décisions relatives au risque de toxicité systémique ont été prises par l'Agence en utilisant le concept de « dose journalière acceptable (DJA) » dérivée d'une « dose sans effet nocif observé (DSENO) (NOAEL en anglais) » déterminée expérimentalement. La DJA est généralement définie comme la quantité d'un produit chimique à laquelle une personne peut être exposée quotidiennement pendant une période prolongée (généralement toute sa vie) sans subir d'effet délétère. Le concept de DJA a souvent été utilisé comme outil pour prendre des décisions en matière de gestion des risques (par exemple, établir des niveaux admissibles de contaminants dans les denrées alimentaires et l'eau). Une DSENO est une dose déterminée expérimentalement à laquelle il n'y avait aucune indication statistiquement ou biologiquement significative de l'effet toxique préoccupant. Dans une expérience avec plusieurs DSENO, l'accent réglementaire est normalement mis sur le plus élevé, ce qui conduit à l'utilisation courante du terme DSENO comme la dose la plus élevée déterminée expérimentalement sans effet indésirable statistiquement ou biologiquement significatif. La DSENO pour l'effet toxique critique est parfois simplement appelée DSENO. Cet usage, cependant, invite à l'ambiguïté en ce sens qu'il peut y avoir des effets observables qui n'ont pas d'importance toxicologique (c'est-à-dire qu'ils ne sont pas « défavorables »). Par souci de précision, ce document utilise le terme DSENO pour désigner la DSENO la plus élevée dans une expérience. Dans les cas où une DSENO n'a pas été démontrée expérimentalement, le terme « dose minimale avec effet nocif observé (DMENO)» est utilisé. (Lowest-observed-adverse-effect level (LOAEL) en anglais. Une fois l'étude critique démontrant l'effet toxique préoccupant identifiée, la sélection de la DSENO résulte d'un examen objectif des données disponibles sur la substance chimique en question. La DJA est ensuite obtenue en divisant la DSENO appropriée par un facteur de sécurité (FS), comme suit : DJA (dose humaine) = (DSENO) (dose expérimentale)/FS. (Équation 1) Généralement, le FS est constitué de multiples de 10, chaque facteur représentant une zone spécifique d'incertitude inhérente aux données disponibles. Par exemple, un facteur de 10 peut être introduit pour tenir compte des différences possibles de réactivité entre les humains et les animaux dans les études d'exposition prolongée. Un deuxième facteur de 10 peut être utilisé pour tenir compte de la variation de sensibilité parmi les individus de la population humaine. Le FS résultant de 100 a été jugé approprié pour de nombreux produits chimiques. Pour d'autres substances chimiques, dont les bases de données sont moins complètes (par exemple, celles pour lesquelles seuls les résultats d'études subchroniques sont disponibles), un facteur supplémentaire de 10 (conduisant à un FS de 1000) pourrait être jugé plus approprié. Pour certains autres produits chimiques, sur la base de réponses bien caractérisées chez les humains sensibles (comme dans l'effet du fluorure sur les dents humaines ), un FS aussi petit que 1 pourrait être sélectionné. Alors que la sélection initiale des FS semble avoir été plutôt arbitraire (Lehman et Fitzhugh, 1954), l'analyse ultérieure des données (Dourson et Stara, 1983) apporte un soutien théorique (et dans certains cas expérimentaux) à leur sélection. De plus, certains scientifiques, mais pas tous, au sein de l'EPA interprètent l'absence d'effets généralisés dans les populations humaines exposées comme une preuve de l'adéquation des SF traditionnellement utilisés.

  • Politique de confidentialité | CanadaSansFluorure

    POLITIQUE DE CONFIDENTIALITÉ Cette politique de confidentialité définit comment Canada sans fluorure utilise et protège toute information que vous leur fournissez lorsque vous utilisez ce site Web. Canada sans fluorure s'engage à assurer la protection de votre vie privée. Si nous vous demandons de fournir certaines informations permettant de vous identifier lors de l'utilisation de ce site Web, vous pouvez être assuré qu'elles ne seront utilisées que conformément à cette déclaration de confidentialité. Canada sans fluorure peut modifier cette politique à l'occasion en mettant à jour cette page. Vous devriez vérifier cette page de temps en temps pour vous assurer que vous êtes satisfait de tout changement. Cette politique est effective à partir d'août 2021. CE QUE NOUS COLLECTONS Nous pouvons collecter les informations suivantes : Nom Adresse courriel Autres informations pertinentes pour les sondages que nous pourrions recueillir auprès des clients. CE QUE NOUS FAISONS AVEC LES INFORMATIONS QUE NOUS COLLECTONS En fournissant votre nom et votre adresse courriel, vous donnez à Canada sans fluorure la permission expresse d'ajouter vos informations à une liste de distribution, afin que nous puissions vous envoyer des mises à jour sur nos activités, ainsi que toute collecte de fonds qui pourrait être nécessaire, afin de soutenir cet effort canadien. SÉCURITÉ Nous nous engageons à garantir la sécurité de vos informations. Afin d'empêcher l'accès ou la divulgation non autorisés, nous avons mis en place des procédures physiques, électroniques et de gestion appropriées pour protéger et sécuriser les informations que nous recueillons en ligne. LIENS VERS D'AUTRES SITES WEB Notre site Web peut contenir des liens vers d'autres sites Web d'intérêt. Cependant, une fois que vous avez utilisé ces liens pour quitter notre site, vous devez noter que nous n'avons aucun contrôle sur les autres sites Web. Par conséquent, nous ne pouvons être tenus responsables de la protection et de la confidentialité des informations que vous fournissez lors de la visite de ces sites et ces sites ne sont pas régis par cette déclaration de confidentialité. Vous devez faire preuve de prudence et consulter la déclaration de confidentialité applicable au site Web en question. CONTRÔLE DES INFORMATIONS PERSONNELLES Nous ne vendrons, distribuerons ou louerons pas vos informations personnelles à des tiers à moins que nous n'ayons votre permission ou que la loi ne l'exige. Si vous pensez que les informations que nous détenons sur vous sont incorrectes ou incomplètes, veuillez nous écrire ou nous envoyer un courriel dès que possible. Nous apporterons rapidement toutes les corrections.

  • Vancouver | CanadaSansFluorure

    VANCOUVER – DÉFI LANCÉ AUX MÉDIAS Le 24 octobre 2021 , la CBC a publié un article , rédigé par Bethany Lindsay, qualifiant Vancouver de « capitale des dents pourries du Canada ». DÉFI LANCÉ À BETHANY LINDSAY PAR LE PRÉSIDENT DE CANADA SANS FLUORURE, LE DR. BOB DICKSON, MD, CCMF, FCMF 31 octobre, 2021 Je vous écris en tant que président de Fluoride-Free Canada, dont la mission est d'éliminer la fluoration de l'eau au Canada pour des raisons d’innocuité et d'éthique. Veuillez considérer ceci comme une demande formelle d'avoir un article de suivi à votre reportage sur CBC du 24 octobre, «Pendant que Calgary vote pour le fluorure, certains en Colombie-Britannique espère pour la «capitale des dents pourries au Canada». Franchement, nous avons été consternés, pour plusieurs raisons : Votre titre sensationnel, une citation de 1976 d'un défenseur de la fluoration, n'est pas seulement terriblement obsolète, il est tout simplement faux. Les données à l'échelle de la province montrent que la Colombie-Britannique, qui a le taux de fluoration le plus bas au Canada (à l'exception du Yukon), a, en fait, un taux de carie légèrement inférieur chez les jeunes enfants que l'Ontario, qui a le taux de fluoration le plus élevé. Votre histoire était complètement unilatérale, citant trois promoteurs de la fluoration et aucun qui s'y opposait. Votre histoire a violé plusieurs des principes de CBC qui encouragent l'information factuelle, l'absence de parti pris et la diversité d'opinion. Votre histoire a également complètement ignoré des études scientifiques approfondies, dont beaucoup ont été menées par d'éminents scientifiques canadiens, établissant un lien entre l'eau fluorée et un QI plus faible chez les enfants, ainsi que plusieurs autres risques graves pour la santé. Pourriez-vous, s'il vous plaît, me répondre directement d'ici ce mardi 2 novembre, si vous allez produire une autre histoire sur cette question illustrant l'autre côté ? _____________________ RÉPONSE DE SHIRAL TOBIN DE LA CBC ET UN AUTRE DÉFI POUR JACK NAGLER, OMBUDSMAN DE LA CBC Date: 16 décembre 2021 À : Jack Nagler, ombudsman de la CBC CC : Shiral Tobin, Brodie Fenlon Bonjour, monsieur Nagler. Je m'appelle Robert Dickson, MD, et je suis le président de Canada sans fluorure, l'organisation nationale qui s'oppose à la fluoration artificielle de l'eau. Il s'agit de ma troisième communication avec le personnel de Radio-Canada CBC concernant l'émission de la CBC du 24 octobre, «Alors que Calgary vote pour le fluorure, certains en Colombie-Britannique gardent de l'espoir pour la capitale des dents pourries du Canada» . Le 1er novembre, j'avais envoyé un courriel à Bethany Lindsay, productrice de cette émission, citant l'inexactitude et le parti pris de la dite histoire, et demandant un suivi qui éclaircirait les fausses croyances qu'il a engendrées. Je n'ai reçu aucune réponse de sa part. Le 8 novembre, j'ai envoyé un e-mail à votre bureau, citant ces inexactitudes, ces préjugés et ces contradictions avec les principes et les normes mêmes de la CBC. Le 3 décembre, j'ai reçu une réponse de Shiral Tobin, qui était en désaccord avec le fait que l'article violait vos normes. Elle a dit que si je n'étais pas satisfait de sa réponse, je devrais vous contacter. Je ne suis pas satisfait de sa réponse. Je ne crois pas qu'il soit nécessaire de répéter ce que j'ai déjà dit dans ma plainte initiale. Je me concentrerai simplement sur la réponse aux commentaires de Mme Tobin, en plus de noter que ni Mme Lindsay et ni Mme Tobin n'ont répondu à ma demande d'un article en réaction donnant d'autres importantes perspectives de santé sur ce sujet. MME TOBIN : «Le titre est accrocheur, mais il cite une entrevue de la CBC avec un ancien médecin de la santé publique, ce qui convient d'être utilisé dans le contexte de ce sujet.» RÉPONSE : Le titre est ce dont les gens se souviennent le plus souvent. Dans de nombreux cas, cela peut être tout ce qu'ils lisent. Le fait qu'elle ait été faite par un ancien médecin de la santé publique n'est pas la question - c'est une assertion fausse, comme le prouvent les statistiques gouvernementales que nous vous avons fournies et cela vient en conflit avec vos normes journalistiques énoncées de fournir «un jugement professionnel basé sur des faits et de la compétence» . Nous espérons que n'importe quel journaliste de la CBC prendra quelques minutes pour vérifier l'exactitude d'une citation datant de 1976 avant de la mettre dans le titre. Mme Lindsay ne l'a pas fait et Mme Tobin prend la défense de ce titre. La citation est factuellement inexacte et elle était l’assertion la plus importante de tout l'article. L'inexactitude n'est jamais «appropriée» . Ce n'est pas du journalisme responsable. MME TOBIN : «C'est un reportage de gens qui exigent un changement au statu quo, c'est pourquoi ces positions sont au cœur de l'article.» RÉPONSE : Canada sans fluorure n'a aucun problème avec un objectif particulier. Notre plainte soulève le fait qu’il n'y a pas assuré en perspective un équilibre des opinions elles-mêmes. Selon les propres mots de CBC : «Nous contribuons à un débat éclairé sur des questions importantes pour les Canadiens en reflétant une diversité d'opinions. Notre contenu sur toutes les plateformes présente un large éventail de sujets et de points de vue. Sur les questions controversées, nous veillons à ce que les points de vue divergents soient reflétés avec respect, en tenant compte de leur pertinence pour le débat et de la large diffusion de ces points de vue» . Je ne sais pas à quel point il pourrait être plus évident qu'il n'y avait aucune diversité d'opinions dans cet article. Comment est-il possible que cela ne soit pas une violation de vos propres normes ? MME TOBIN : « L'article offre des informations supplémentaires et des liens pour étayer les affirmations des experts et des médecins cités. . .» RÉPONSE : Eh bien, oui, l'article offrait ces informations, mais comme indiqué ci-dessus, cela ne demeure que le point de vue d’une seule version. MME TOBIN : « Je ne suis pas au courant des études (sur la fluoration abaissant le QI) que vous mentionnez dans votre lettre reliant le fluor à l'intelligence et vous ne fournissez aucun lien. Mais celui que je connais montre une corrélation, pas une causalité, et même ce n'est pas un effet très fort.» RÉPONSE : Je pense que cela touche au cœur du problème de la CBC. Non, vous n'êtes pas au courant. Mme Tobin a raison de dire que je n'ai pas fourni de documentation, alors parlons-en maintenant. En juillet 2019, l’O’Brien Institute of Public Health, de l'Université de Calgary, après un examen approfondi, a publié son rapport sur la fluoration en disant : « En résumé, il existe de nouvelles preuves émergentes que l'exposition au fluorure pendant la grossesse puisse s’avérer nocive pour le développement du cerveau des enfants, dont d’importantes études qui ont été publiées subséquemment aux analyses de ces preuves par le National Research Council aux États-Unis en 2006. » À titre de référence, le rapport du NRC des États-Unis (p.222) a conclu qu’ «il est évident que les fluorures ont la capacité d'interférer avec les fonctions du cerveau et du corps par des moyens directs et indirects.» En préparant votre réponse, je demande deux choses : Gardez l'esprit ouvert. Je vous sais occupé, mais veuillez prendre une demi-heure pour lire et visionner les éléments suivant des experts scientifiques de renommée mondiale, dont plusieurs sont canadiens. (Veuillez noter que l'un de ces experts, le Dr Bruce Lanphear, est professeur et scientifique à l'Université Simon Fraser à Vancouver. J'espère que tous les futurs articles que vous rédigerez concernant la fluoration, en particulier en Colombie-Britannique, verront à lui demander ses commentaires.) Ce faisant, je crois que vous serez surpris d'apprendre qu'il n'y a AUCUN doute que le fluorure est toxique pour le cerveau en développement et que de nombreuses preuves démontrent que la fluoration de l'eau, aux concentrations telles que fixées au Canada, affecte les femmes enceintes, les enfants à naître et les nourrissons en abaissant leur QI et en augmentant les taux de TDAH. Article d'Environmental Health News : «It is Time to Protect Developing Kids’ Brains from Fluoride» (2 minutes de lecture) Dr Bruce Lanphear : «The Impact of Fluoride on Brain Development» (vidéo de 5 minutes) Dre Christine Till : présentation au club Rotary de Calgary, le 28 septembre, 2021 (vidéo de 22 minutes) Je vous renvoie également à deux documents d'une page sur le manque d'efficacité et la neurotoxicité de la fluoration - encore une fois aux concentrations de l'eau fluorée au Canada. Ils prennent chacun environ une minute à lire. Fluoride Efficacy Fluoride Neurotoxicity Merci pour votre attention. J'attends avec impatience votre réponse. Sincèrement, Robert Dickson, M.D., CCMF, FCMF Président, Canada sans fluorure ____________________________ A ce jour... pas de réponse.

  • Procès | CanadaSansFluorure

    NOUS AVONS GAGNÉ ! La Cour fédérale américaine déclare que la fluoration de l’eau présente un « risque déraisonnable » pour les enfants Le jugement exige que l'Agence de protection de l’environnement (EPA) prenne des mesures réglementaires pour éliminer le risque et dans le cadre de ce jugement, cela pourrait mettre fin à l'utilisation de produits chimiques de fluoration de l'eau à travers les États-Unis. Après sept années de bataille juridique sans précédent devant un tribunal fédéral, une décision historique du tribunal de l’United States District Court of the Northern District of California a ordonné à l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA) de prendre des mesures réglementaires pour éliminer le «risque déraisonnable» à la santé des enfants posés par la pratique de la fluoration de l’eau. Le verdict constitue un échec important pour l’EPA et pour les promoteurs de la fluoration comme l’American Dental Association et les Centers for Disease Control des États-Unis car le tribunal a estimé que leurs allégations d’innocuité – formulées depuis plus de 75 ans – n’étaient en fait pas étayées par des preuves. Le juge principal Edward Chen a écrit : « La Cour estime que la fluoration de l'eau à 0,7 milligramme par litre (« mg/l ») – la concentration actuellement considérée comme « optimale » aux États-Unis – présente un risque déraisonnable de réduction du QI chez les enfants… La Cour estime qu’il existe un risque déraisonnable d’un tel préjudice, un risque suffisant pour obliger l’EPA à engager une réponse réglementaire. « Au total, il existe des preuves substantielles et scientifiquement crédibles établissant que le fluorure présente un risque pour la santé humaine; il est associé à une réduction du QI des enfants et est dangereux à des doses beaucoup trop rapprochées des concentrations de fluorure présentes dans l'eau potable aux États-Unis… Une baisse du QI pose de graves problèmes. Des études ont établi un lien entre une diminution du QI, même avec une perte de seulement d'un ou deux points, par exemple, et une diminution du niveau d'éducation, du statut d'emploi, de la productivité et des salaires gagnés. La décision ne précise pas exactement quelles mesures doivent être adoptées par l'EPA, mais en vertu de la Loi sur le contrôle des substances toxiques (Toxic Substances Control Act (TSCA)), une fois que le tribunal décide qu'un produit chimique présente un risque déraisonnable, l'EPA est tenue par la loi de restreindre ou d'éliminer le risque. Le juge Chen a décrit une gamme d’options pour réglementer la fluoration, y compris son interdiction, mais il a prévenu : « Une chose que l’EPA ne peut cependant pas faire, face aux conclusions de cette Cour, est d’ignorer ce risque.» LIRE LE JUGEMENT COMPLET Voici quelques extraits notables du jugement: p. 3 : Il y a peu de contestation dans cette poursuite quant à savoir si le fluorure présente un danger pour la santé humaine. En effet le propre expert de l'EPA admet que le fluorure est dangereux à un certain niveau d'exposition. De plus, il y a de nombreuses preuves qui établissent que l'exposition d'une mère au fluorure pendant la grossesse est associée à des diminutions de QI chez sa progéniture. p. 5 : L'analyse groupée des doses de référence a conclu qu'une baisse de 1 point du QI d'un enfant est à prévoir pour chaque 0,28 mg/l de fluorure dans l'urine d'une mère enceinte. Ceci est très préoccupant, car les concentrations de fluorure urinaire maternelle chez les femmes enceintes aux États-Unis varient de 0,8 mg/l à la médiane et jusqu’à 1,89 mg/l selon le degré d'exposition. Non seulement il existe une marge insuffisante entre la concentration dangereuse et ces niveaux d'exposition, mais pour beaucoup, les niveaux d'exposition dépassent la concentration toxique de 0,28 mg/l. p. 5 : Même la concentration toxique déterminée sur le plan toxicologique de 0,28 mg/l était jugé insuffisamment justifié, les éléments de preuve versés au dossier établissent encore sans aucun doute que l'eau potable fluorée présente un risque d'atteinte à la santé. p. 6 : La marge d'erreur par défaut de l'EPA nécessite un facteur 10 entre le niveau de danger et le niveau d'exposition en raison de la variabilité des sensibilités humaines… Ici, une marge encore plus grande (100x) est requise car la méthodologie (qui fixe la concentration dangereuse à 4 mg/l) utilise la dose minimale entraînant un effet nocif observé (“LOAEL”); cette méthodologie ajoute un niveau d'incertitude supplémentaire (et donc l'application d'une marge 100 x plutôt que 10 x). Mais même si seulement la marge 10 x par défaut était requise, la concentration sécuritaire d'exposition au fluorure serait de 0,4 mg/l (4 mg/l étant la concentration toxique divisée par 10). La concentration “optimale” de la fluoration de l'eau aux États-Unis de 0,7 mg/l est presque le double de cette concentration sécuritaire de 0,4 mg/l pour les femmes enceintes et leur progéniture. p. 77 : La littérature scientifique contenue dans le dossier offre un niveau élevé de certitude qu'un danger est présent; le fluorure est associé à un QI réduit. Il existe des incertitudes présentées par les données sous-jacentes concernant le point de départ et le niveau d'exposition appropriés à utiliser dans cette évaluation des risques. Mais ces incertitudes ne compromettent pas la constatation d’un risque déraisonnable; dans chaque scénario, en utilisant l'un des différents points de départ, les niveaux d'exposition et les taux de références possibles, un risque est présent compte tenu des facteurs d’incertitude appropriés qui s’y appliquent. p. 78 : Il existe une certitude significative dans l’ensemble de données concernant l’association entre le fluorure et un QI réduit. À savoir, il existe un ensemble solide de preuves révélant une association indésirable statistiquement significative entre le fluorure et le QI. Une grande majorité des 72 études épidémiologiques évaluées par la monographie du National Toxicology Program (NTP) ont observé cette relation incluant toutes les 19 études de haute qualité sauf une, voir les numéros 34-36, et la littérature publiée après la date limite de la monographie du NTP a observé la même relation, voir le numéro 37 – et les preuves compensatoires, pour diverses raisons décrites précédemment, ont peu d'impact sur cette association répétée et constamment observée entre le fluorure et un QI réduit, voir le numéro 39. De plus, aucune cohérence complète entre les études n’est attendue. Voir Dkt. Non. 414, 9 février 20240, essai Tr. à 1172 :23-1173 :6 (Savitz). Notamment, malgré les difficultés inhérentes à l'observation de cette association à des concentrations d'exposition plus faibles, les études effectuant une évaluation sur de telles concentrations ont tout de même observé une relation statistiquement significative entre le fluorure et le QI réduit : Voir les numéros 42 à 44. Encore une fois, pour mettre en perspective l’étendue des preuves à l’appui de cette conclusion, l’EPA a identifié une Dose minimale entraînant un effet nocif observé (LOAEL) basée sur beaucoup moins d’études dans d’autres contextes. Par exemple, dans l'évaluation des risques liés au méthylène réalisée par l'EPA, menée conformément à la Loi sur le contrôle des substances toxiques amendée (TSCA), l'EPA a utilisé une LOAEL pour la neurotoxicité sur le développement, dérivé de l'analyse d'une étude menée sur des souriceaux (Fredriksson et al., 1992). Voir Évaluation des risques liés au méthylène à l'adresse 262. Comparez cela avec 6 (sur le fluorure dans l’eau) et 9 (sur le fluorure urinaire), des études épidémiologiques de haute qualité sur les populations humaines exposées à des concentrations inférieures une LOAEL de 4 mg/l, donc inférieures au seuil de toxicité de départ, le POD dans ce cas-ci. Dkt. Non. 431-2, essai Ex. 68 à 39, 41 (Tableau électronique 4). La littérature scientifique contenue dans le dossier présente un niveau élevé de certitude quant à la présence d’un danger; le fluorure est associé à un QI diminué. Les preuves qualitatives sont supérieures. p. 76 : La taille de la population touchée est vaste. Environ 200 millions d'Américains ont du fluorure ajouté intentionnellement à leur eau potable à une concentration de 0,7 mg/l. Voir Dkt. N° 421 au 206-07 (incontesté). D’autres Américains sont indirectement exposés à l’eau fluorée en consommant des boissons commerciales et des aliments fabriqués avec de l’eau fluorée. p. 76 : Environ deux millions de femmes enceintes et plus de 300 000 bébés exclusivement nourris au lait maternisé sont exposés à de l'eau fluorée. Le nombre de femmes enceintes et de bébés nourris au lait maternisé qui sont exposés chaque année à la fluoration de l'eau dépasse des populations entières exposées à des conditions d'utilisation pour lesquelles l'EPA a constaté un risque déraisonnable ; l'EPA a considéré comme étant des risques déraisonnables là où la population affectée était inférieure à 500 personnes. L'avocat du Fluoride Action Network, Michael Connett, a déclaré : «La Cour a fait ce que l'EPA a longtemps refusé de faire : appliquer le cadre d'évaluation des risques de l'EPA sur le fluorure. C'est une décision historique. De plus, alors que nous attendons la procédure d'élaboration des règles de l'EPA, les décideurs politiques seraient bien avisés de se demander : «Devrions-nous vraiment ajouter une substance neurotoxique à notre eau potable ?»» CONTEXTE Le procès a été intenté en vertu de la Loi sur le contrôle des substances toxiques de 1976 (TSCA), qui permet aux citoyens de demander à l'EPA d'évaluer si un produit chimique présente un risque déraisonnable pour la santé publique et qui devrait alors être réglementé. Elle autorise également les groupes de citoyens à contester l'EPA devant les tribunaux suite au rejet d'une requête. TSCA donne à l'EPA le pouvoir d'interdire “l'utilisation particulière” d'une substance chimique si elle s'avère présenter un risque déraisonnable pour le grand public ou pour des sous-populations vulnérables. Le FAN a soumis une pétition citoyenne en vertu de l'article 21 de la TSCA à l'EPA en novembre 2016 demandant l'interdiction de l'ajout de produits chimiques de fluoration à l'eau. Lorsque l'EPA a rejeté notre pétition, le FAN a intenté une action devant un tribunal fédéral en 2017, rejoint par des groupes de défense des consommateurs : Food and Water Watch and Moms Against Fluoridation , par des associations en santé publique : l’American Academy of Environmental Medicine , and the International Academy of Oral Medicine and Toxicology , ainsi que plusieurs individus se représentant eux-mêmes et/ou leurs enfants, dont Brenda et Ko Staudenmaier et Kristie Lavelle. Après un procès sans jury de deux semaines organisé via Zoom en juin 2020, le procès a été suspendu parce que le tribunal attendait la publication finale de la révision systématique du National Toxicolgy Program (NTP) sur la neurotoxicité du fluorure. Cependant, en 2022, la pression de groupes d'intérêt pro-fluoridation a empêché la diffusion publique du rapport du NTP étantqui a été bloqué e par de hauts responsables à l’intérieur du U.S. Department of Health & Human Services.. Les plaignants ont alors soumis des documents obtenus via la Loi sur l’accès à l’information exposant cette intervention au tribunal. Cette découverte a permis un accord juridique contraignant visant à rendre public le rapport et à inciter Chen à décider que le procès devait se poursuivre en recourant à la version préliminaire du rapport du NTP. Une deuxième et dernière phase du procès s’est déroulée sur plusieurs semaines au cours de l’hiver 2024. Le mois dernier, le NTP a enfin publié la première partie de leur rapport, trouvant une «bonne quantité» de preuves selon lesquelles l'exposition au fluorure est “constamment associée à un QI plus faible chez les enfants.” Une méta-analyse du NTP qui l'accompagne sera bientôt publiée dans une revue scientifique révisée par des pairs. Cliquez ici pour une chronologie du procès Cliquez ici pour FAN's page Web complète sur le procès ÉTABLISSEMENT D’UNE JURISPRUDENCE C'est la première fois qu'une pétition citoyenne est jugée et c'est la première fois qu'un groupe citoyen remporte un procès contre l'EPA en vertu de l'article 21 de la Loi sur le contrôle des substances toxiques (TSCA). Notre cause et notre victoire ne manqueront pas de créer des opportunités pour que des groupes de défense citoyenne ou de l’environnement puissent utiliser le même processus que le FAN à l'avenir pour forcer l'EPA à réglementer de manière adéquate les produits chimiques qui présentent un risque déraisonnable pour la santé publique. Ce procès était également la première fois que des groupes de citoyens obtenaient avec succès un examen objectif complet de la science sur la fluoration, dans une salle d'audience, avec des experts sous serment, en vertu des dispositions de Loi sur le contrôle des substances toxiques (TSCA) qui créent des conditions de concurrence équitables entre les groupes de citoyens et l'EPA qui défendait un produit chimique. En vertu de la plupart des lois, lorsque les citoyens poursuivent une agence fédérale en justice, les tribunaux accordent une déférence aux opinions de l'agence. Mais dans ce procès, en vertu d'une disposition spéciale de la TSCA, le tribunal n’a fait aucune déférence à l'EPA. Le Congrès a spécifiquement ajouté des règles de jeux équitables car il a reconnu que l'EPA pouvait être trop lente à lutter contre des expositions nocives à des produits chimiques. COUVERTURE MÉDIATIQUE INITIALE Les médias reprennent rapidement cette histoire, avec une couverture des médias suivants jusqu'à présent : CBS News : Federal Court Rules Against EPA in Lawsuit Over Fluoride in Water Bloomberg Law : EPA Must Reduce Fluoride’s IA Risks to Children, Court Says The Defender : Fluoride in Water Poses ‘Unreasonable Risk’ to Children, Federal Judge Rules Dr. Bicuspid : U.S. Court - Fluoride in Water Risky, Must be Addressed CNN : Fluoride in Water Poses Enough Risk to Merit New EPA Action, Judge Says Reuters : EPA Must Address Fluoridated Water’s Risk to Children’s IQs, US Judge Rules The Hill : Judge Orders EPA to Address Potential IQ Impacts of Fluoride in Drinking Water Politico : Fluoride Ruling Pushes EPA for Regulatory Action Associated Press / ABC News : Fluoride in Drinking Water Poses Enough Risk to Merit New EPA Action, Judge Says …et bien d’autres sont attendus dans les prochains jours. PROCHAINES ÉTAPES Le tribunal a ordonné à l'EPA d'engager une procédure d'élaboration de règlements pour élaborer une nouvelle réglementation qui restreindra ou éliminera le risque posé par les produits chimiques de fluoration pour le cerveau en développement. La SEULE façon de le faire efficacement est de mettre fin à la fluoration. Les communautés ajoutent actuellement volontairement cette neurotoxine aux approvisionnements publics en eau. Le mal est inutilement auto-infligé, mais cela signifie également que la solution est simple : interdire l’utilisation de produits chimiques de fluoration. L'EPA peut faire appel à la Court of Appeals for the Ninth Circuit ou elle pourrait mettre quelques années à élaborer des règlements. À notre avis, les tentatives de l'EPA de faire appel ou de retarder cette décision ne feront que nuire à des centaines de milliers d'enfants supplémentaires, en particulier ceux dont les familles ne peuvent pas se permettre une osmose inversée coûteuse ou une filtration par distillation de l'eau du robinet. Nous exhortons tous ceux qui lisent ce bulletin à le partager, ainsi que le jugement lui-même, avec vos médias locaux, vos décideurs, vos voisins et les législateurs des États. Les décideurs politiques au niveau local et des états n’ont pas besoin d’attendre pour agir. Le gouvernement fédéral n'impose pas la fluoration et les décideurs locaux et des états peuvent donc agir immédiatement. Nous avons un jugement très approfondi pris par les tribunaux fédéraux fondé sur de nombreuses preuves Le public n’a pas souscrit à l'ajout d'un produit chimique à l'eau potable publique qui pourrait nuire au cerveau. Si d’un coté une carie peut facilement être obturée, de l’autre les lésions cérébrales sont permanentes et les conséquences durent toute la vie. Il n'y a pas de seconde chance en ce qui concerne le développement cérébral altéré. Cordialement, Stuart Cooper Directeur exécutif Fluoride Action Network

  • Vancouver | CanadaSansFluorure

    GROUPE DE TRAVAIL DE L'ONTARIO Comté de Brant Comté de Brant sans fluorure Facebook Hamilton Hamilton sans fluor (20+) Hamilton sans fluor | Facebook Lambton Lambton sans fluor Facebook Londres Sans fluorure London, Ontario Sans fluorure, London, Ontario | Facebook Oshawa Oshawa sans fluorure Facebook Ottawa Ottawa sans fluoration Ottawa sans fluoration – Page d'information principale – Ville d'Ottawa – Ottawa sans fluoration Owen Sound Owen Sound sans fluoration Owen Sound sans fluoration | Facebook Région de Peel Peeling sans fluor Peeling sans fluor Sudbury Les Sudburois pour un Sudbury sans fluorure Les Sudburois pour un Sudbury sans fluorure | Facebook Toronto Fin du fluorure à Toronto END FLUORURE TORONTO | Aidez-nous à mettre fin à l'utilisation du fluorure Toronto sans fluorure (20+) Facebook Windsor Windsor-Essex sans fluorure Sans fluor à Windsor-Essex | Windsor (Ontario) | Facebook

  • Dental Fluorosis | CanadaSansFluorure

    FLUOROSE DENTAIRE Un désastre dentaire As both the numbers of Americans and percentage of the population drinking fluoridated water swelled, dental fluorosis also grew, disproportionately and with worse severity in Black and Latino populations. Dental fluorosis is a defect in the tooth due to cell death during the formative stages. Those with dental fluorosis have higher bone fractures as well as higher rates of learning disabilities. Dental fluorosis is the visible evidence of similar defects due to cytotoxic effects that occur in bones and brains during critical periods of development, i.e. prenatal, infancy and early childhood. Dental fluorosis is also a leading indicator of higher dental costs as these unattractive and brittle teeth will require costly veneers and crowns in young adulthood. Per 2011-2012 NHANES figures released in 2017, one in five (23%) American teens have brown mottling and perhaps pitting on at least two fluorosed teeth due to childhood exposure. RESOURCES 1962 Memo: http://fluoridealert.org/wp-content/uploads/1962_01_10_Blacks_Fluorosis.pdf “Negros in Grand Rapids had twice as much fluorosis - indices 0.15 v. 0.35” 2005 CDC MMWR: https://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/ss5403a1.htm “Prevalence of enamel fluorosis has increased in cohorts born since 1980.” 2010 CDC Report: https://www.cdc.gov/nchs/data/databriefs/db53.pdf “(All levels of) dental fluorosis were higher among adolescents aged 12–15 in 1999–2004 than in 1986–1987.” 2015 “Agua Potable o Veneno” (part 2 of 3): https://www.youtube.com/watch?v=RGswvGZPL-M Ethnic Breakdown: http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/ss5403a1.htm#tab23 2017 Dental fluorosis is result of apoptosis: https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5770627/ 2018 Increase: http://jdh.adha.org/content/92/1/23 Conclusion: “There was a difference of 31.6% in dental fluorosis prevalence between 2012-2011 when compared to data from 2002-2001 in adolescents aged 16 and 17 years. The continued increase in fluorosis rates in the U.S. indicates that additional measures need to be implemented to reduce its prevalence.” Lorsque la fluoration a commencé, les partisans ont promis au public américain que le seul et pire risque du programme était que moins de 10 % des enfants pourraient avoir quelques taches blanches pâles sur leurs dents « résistantes aux caries », ce qui, selon beaucoup, ajouterait un éclat attrayant. Il convient également de noter que les chercheurs des premiers essais de fluoration ont traité les enfants afro-américains différemment dès le début, écrivant qu’il était de notoriété publique que les Noirs avaient des dents plus solides et plus résistantes à la carie. Il n'a pas fallu longtemps aux personnes impliquées pour se rendre compte que quelque chose n'allait pas du tout, mais leur réaction à la note de 1962 qui notait des taux élevés de fluorose qui avaient doublé chez les enfants afro-américains a mis l'accent sur la protection du programme de fluoration.

  • Lettre Trudeau Document | CanadaSansFluorure

    Document d’appui pour une lettre envoyée à Au Premier Ministre Trudeau et à tous les premiers ministres canadiens 1er septembre, 2021 LA NEUROTOXICITÉ DU FLUORURE ET LES EFFETS DÉLÉTÈRES DOCUMENTÉS SUR LES AUTRES TISSUS Neurotoxicité Il y a somme toujours croissante d’études révisées par de pairs, à partir du milieu des années 90 qui démontrent que le fluorure est neurotoxique. Jusqu’à ce jour, plus de 76 études chez les humains , la plupart provenant des régions de fluorose endémique en Chine, ont associé un QI abaissé avec l’exposition au fluorure. Les promoteurs de la fluoration de l’eau ont rejeté la pertinence de ces études (a) à cause des limitations méthodologiques et (b) à cause que plusieursmais pas toutesdes résultats de ces recherches sont survenus à des concentrations de fluorure plus élevées que celles utilisées dans les programmes de fluoration de l’eau. Toutefois, il y avait un accord généralisé que ces résultats étaient remarquablement homogènes [Choi et al., 2012 ]. Une amélioration très significative de la qualité de ces études est survenu en 2017 quand les quatre premières études de cohorte prospectives financées par le National Institute of Environmental Health Sciences [NIEHS] aux États-Unis furent publiées: [Bashash et al., 2017 et 2018 ]; [Green et al., 2019 ] (aussi financée par Santé Canada ) et [Till et al., 2020 ]. Des chercheurs canadiens ont été impliqués dans toutes ces études rigoureusement conçues. Pour la première fois, les études incluaient des femmes enceintes et leur progéniture. Ceci était important parce que le fluorure est reconnu comme pouvant passer au travers du placenta. Les valeurs mesurées ont été faites à la fois sur l’exposition et l’impact au niveau individuel (antérieurement celles-ci étaient faites d’une façon moins précise au niveau communautaire, dans des études dites écologiques.) Aussi l’étude par Till et al., 2020 ont montré que le cerveau des bébés est sensible au dommage par le fluorure. Ils ont montré une importante réduction du QI lorsque les enfants étaient nourris au biberon étant bébés dans les communautés qui étaient fluorées, comparativement aux bébés qui étaient nourris au biberon dans les communautés non fluorées. Le plus important c’est que l’exposition au fluorure dans toutes ces études était à des concentrations communément vécues par les femmes enceintes et leurs enfants dans des communautés fluorées au Canada. Le poids de la preuve laisse croire maintenant fortement que le fluorure est en mesure d’endommager la fois le cerveau fœtal et du nouveau-né à des concentrations très basses . En s’appuyant sur l’analyse de la dose repère (BDA) de Philippe Grandjean et al. la progéniture née des femmes exposées aux doses de fluorure communément exposées dans les communautés à 0,7 ppm, subiraient une perte de 4 à 5 points de QI. Afin de mettre cela en perspective, à un niveau populationnel , un changement à la baisse de 5 points de QI coupe de moitié le nombre d’enfants très brillants (QI>130) et augmente de 57% le nombre d’enfants exigeant des soins particuliers (QI <70). Les deux changements ont d’énormes répercussions sociales et économiques pour le Canad D’après Grandjean, à cause du grand nombre d’enfants qui sont délibérément exposées à l’eau fluorée, le fluorure cause une plus grande perte de points de QI aujourd’hui que le plomb, l’arsenic et le mercure ensemble. La perte de points du QI a des conséquences pour toute la vie. Pour l’individu , on a estimé qu’une perte d’un point de QI réduirait les revenus sur toute une vie de 18,000$ [Grandjean et al., 2012 ]. Pour toute la population canadienne, nous parlons ici de perte de revenus de milliards de dollars sur toute une vie. Le Fluoride Action Network aux États-Unis a préparé une révision scientifique des études Mères-progéniture sur la neurotoxicité du fluorure, disponible ici . LES ÉTUDES RÉCENTES PUBLIÉES SUR D’AUTRES ORGANES, TISSUS ET SYSTÈMES DU CORPS Os Une étude de cohorte prospective majeure en provenance de Suède démontre un risque plus élevé de fractures de la hanche chez les femmes post-ménopausées associé à une exposition sur de longues périodes au fluorure naturel présent dans l’eau à des concentrations qui sont dans les mêmes niveaux que les concentrations de la fluoration de l’eau au Canada [Helte et al., 2021 ]. Ceci est une découverte très sérieuse parce que l’on sait bien que les fractures chez les personnes âgées sont débilitantes, dispendieuses à traiter, entrainent une perte d’autonomie, à des soins institutionnels et souvent abrègent la vie de ceux qui en sont affectés. Cette découverte souligne aussi que le fluorure peut affecter notre santé de la grossesse jusqu’à la mort, affectant le cerveau du fœtus et les os des personnes âgées suite à une exposition durant toute sa vie. Les fonctions des reins et du foie, l’hyperuricémie et l’endocrinologie de la reproduction Des études épidémiologiques récentes menées aux États-Unis, recourant à des valeurs mesurées individuelles de biomarqueurs de l’expositions au fluorure, ont trouvé une association entre un apport faible à modéré de fluorure et une fonction rénale ou hépatique détériorée [Malin et al., 2019 ], une augmentation des risques d’hyperuricémie [Wei et al., 2021 ], ainsi que des effets négatifs sur l’endocrinologie de reproduction chez les adolescents américains [Bai et al., 2020 ].

  • Infolettres | CanadaSansFluorure

    Le compte rendu sur le FLUORURE Profitez des archives des infolettres de Canada sans fluorure #26 Rapport sur le fluorure – Le Québec sera sans fluoration avant la fin de l’année 2024! | Prenons conseil auprès de Gilles Parent, ND.A. 25 novembre 2024– NOUVEAU Voir #25 Rapport sur le fluorure – Le jugement de la cour tant attendue...nous avons gagné! | Communiqué de presse | Principaux points a retenir du jugement de la cour 27 septembre 2024 Voir #24 Rapport sur le fluorure – Présentation au conseil de Windsor, Ontario | Remettre les pendules à l’heure 17 mars 2024 Voir #23 Rapport sur le fluorure – Le Dr. Bob prend la parole | Le Dr Bob donne son avis au ministère de la Santé de l’État de Washington 17 mars 2024 Voir #22 Rapport sur le fluorure – Procès historique en cours (lien Zoom) | Communique de presse des FAN 5 février 2024 Voir #21 Rapport sur le fluorure – Aidez à diffuser l’information : Faites l'histoire | Le procès sur le fluorure : La science censurée sur le fluorure et votre santé (vidéo en anglais) 14 janvier 2024 Voir #20 Rapport sur le fluorure – Récapitulatif et état actuel du procès sur le fluorure de l'EPA | La vérité d'un Ph. D. en chimie ( vidéo en anglais) 24 septembre 2023 Voir Webinaire avec Christine Till : Quel est le probleme avec le fluorure? LE BOUTON « VOIR » EST MAINTENANT MIS À JOUR AVEC L'ENREGISTREMENT DU WEBINAIRE (en anglais) 8 mai 2023 Voir #19 Rapport sur le fluorure – Démolir les mythes – Épisode #7 Mythe #7 : Que la fluoration ne m odifiera pas sensiblement l’apport alimentaire en fluor. 15 mars 2023 Voir #18 Rapport sur le fluorure – Espoir pour les Canadiens : Injonction en cours à Montréal | de l’aide pour votre campagne ! 10 février 2023 Voir Le tribunal rejette la tentative de l'EPA de retarder davantage le procès 15 janvier 2023 Voir Avis d'audience zoom de la poursuite contre la fluoration (français sous l'anglais) 10 janvier 2023 Voir #17 Rapport sur le fluorure – Mise à jour importante sur le procès ! | Le gros mensonge de Colgate | La réponse de l'obmudsman de la CBC 15 decembre 2022 Voir #16 Rapport sur le fluorure – Le fluorure : Une cause profonde de dommages aux humains | Fluorure : Source d'acne chronique 15 novembre 2022 Voir #15 Rapport sur le fluorure – La Roulette Russe Aux Raisins : Le Fluorure Trouvé Dangereux Pour les Animaux et les Plantes 15 octobre 2022 Voir Message du Dr Bob – Collecte de Fonds 2022 1 octobre 2022 Voir #14 Rapport sur le fluorure – Démolir les mythes – Épisode #6 Mythe #6 : L’apport sécuritaire optimal en milligramme/par kilogramme de poids/ par jour en fluorure requise pour la santé dentaire est bien connue. 15 août 2022 Voir #13 Rapport sur le fluorure – Démolir les mythes – Épisode #5 Mythe #5 : L’apport sécuritaire optimal en milligramme/par kilogramme de poids/ par jour en fluorure requise pour la santé dentaire est bien connue. 15 juillet 2022 Voir #12 Rapport sur le fluorure – Avertissement : On est devant une attaque sournoise La plus grande menace pour les communautés non fluorées! | Quoi d'autres Canada sans fluorure mijote-il? 15 juin 2022 Voir #11 Rapport sur le fluorure – Démolir les mythes – Épisode #4 Mythe #4 : Qu’une concentration optimale de 0,7 ppm de fluorure dans l’eau potable va assurer l’administration d’une dose quotidienne optimale et sécuritaire en fluorure pour la santé à chaque citoyen, dose ajustée selon son poids, son âge, son sexe, son état de santé, sa diète, son environnement et ses activités physiques, indépendamment de la quantité d’eau consommée. 15 mai 2022 Voir #10 Rapport sur le fluorure – Démolir les mythes – Épisode #3 Mythe #3 : Que l’eau potable est un excellent véhicule pour l’administration d’une dose appropriée de fluorure pour prévenir la carie sans risque pour la santé. 15 avril 2022 Voir #9 Rapport sur le fluorure – Démolir les mythes – Épisode #2 Mythe #2 : Les autorités de la santé connaissent exactement la quantité de fluorure nécessaire chaque jour pour assurer que les cristaux d’apatite de l’émail dentaire seront transformés en un taux suffisant de fluoroapatite pour le rendre résistant à la carie dentaire. 15 mars 2022 Voir #8 Rapport sur le fluorure – Démolir les mythes – Épisode #1 Mythe #1 : Que, les autorités de la santé savent quelle est la concentration optimale de fluorure dans l’émail de la dent pour la rendre résistante à la carie. 25 février 2022 Voir #7 Rapport sur le fluorure – Le biais des médias : Nous n’avons pas l’intention de s’avachir! | Fluoride Free Windsor-Essex 25 janvier 2022 Voir #6 Rapport sur le fluorure – Pouvez-vous fier sur les conseils des « experts » ? 3 decembre 2021 Voir #5 Rapport sur le fluorure – La légalité de la fluoration | Quel est la nature exacte des produits chimiques de la fluoration? 20 novembre 2021 Voir #4 Rapport sur le fluorure – Les échecs à Calgary et à Windsor ne signifient pas la défaite. Soyez patient! | Les promoteurs de fluoration visent maintenant Vancouver, BC 6 novembre 2021 Voir #3 Rapport sur le fluorure – La science perdue à Calgary | Comment a-t-on saboté Safe Water Calgary 22 octobre 2021 Voir #2 Rapport sur le fluorure – Résultats du vote | Vidéo de présentation | Les canadiens défiés par des médias biaisés | Qui est Christine Till? 9 octobre 2021 Voir #1 Alerte médiatique – Votez pour donner un nom à ce bulletin | Vidéo de présentation | Comment la crise de Calgary vous affecte 24th septembre 2021 Voir Suivi de la lettre à M. Trudeau | Invitation à partager vos talents 17th septembre 2021 Voir

  • Communiqué de presse 090121 | CanadaSansFluorure

    COMMUNIQUÉ DE PRESSE – 1ER SEPT. 2021 Couverture médiatique de notre lancement (en anglais) CTV News: Un groupe anti-fluoration demande Windsor à renverser son projet de réintroduire l'additif Blackburn News: Un groupe anti-fluor devrait ramener le débat à Windsor-Essex An groupe anti-fluor veut que le conseil de Windsor envisage de nouvelles études D’éminents scientifiques canadiens sont en accord pour conclure que les cerveaux des enfants peuvent être endommagés par l’eau fluorée du robinet. Un nouveau regroupement émerge pour mettre fin à la fluoration à la grandeur du pays. 1er septembre, 2021, Ottawa. Aujourd’hui, une coalition de plus de 140 citoyens à travers le Canada fait l’annonce de la formation d’un nouveau regroupement national. L’objectif du regroupement est de mettre fin à la fluoration de l’eau dans chacune des provinces et dans chacun des territoires de ce pays. Ce groupe appelé “Canada sans fluorure” a été poussé à agir par deux choses : la science nouvelle et alarmante qui montre que le fluorure a le potentiel d’endommager le cerveau en croissance à des doses communément vécues dans des communautés canadiennes artificiellement fluorées. les tentatives de réinstaller la fluoration à Calgary, en Alberta qui avait mis fin à la fluoration en 2011 et à Windsor, Ontario qui avait cessé en 2014. Les chercheurs éminents américains et canadiens Bruce Lanphear et Christine Till se sont joints au Dr. Linda Birnbaum, ancienne directrice du National Institute of Environmental Health Studies, pour demander que des mises en garde d’éviter l’eau fluorée soient communiquées aux femmes enceintes (Environmental Health News, Oct 7 2020 ). Mais cela n’a pas était fait au Canada. Selon Gilles Parent, ND.A. qui a mené 45 années d’efforts pour éliminer la fluoration du Québec: “C’est incroyable qu’avec la science de la plus haute qualité qui en montre les dangers pour les cerveaux de nos enfants que quelqu’un puisse encore envisager de relancer cette pratique. On peut réparer une dent cariée mais on ne peut pas réparer un cerveau endommagé.” Robert Dickson, un médecin qui a aidé à mettre fin à la fluoration à Calgary, a rejeté l’allégation que l’augmentation de carie dentaire à Calgary était due à la cessation de la fluoration. Dickson affirme que “la plupart des scientifiques s’entendent que le bénéfice prédominent du fluorure est topique. Il n’y a aucune utilité à l’avaler et il n’y a aucune nécessité de l’imposer aux gens sans leur consentement éclairé. Nous voulons garder notre eau sécuritaire et non contaminée par des déchets dangereux de l’industrie des engrais phosphatés. Les dentistes devraient pratiquer leur art dans leurs bureaux, non pas dans notre eau de consommation.” Dr. Paul Connett, un professeur retraité de chimie qui agit en tant que conseiller scientifique de ce nouvel organisme, affirme qu’ “il y a maintenant plus de 69 études provenant de Chine qui indiquent que le fluorure réduit le QI chez les enfants. Mais le communauté scientifique dans l’hémisphère ouest a seulement commencé à prendre au sérieux cette question en 2017, lorsqu’une étude financée le gouvernement des États-Unis a été publiée (Bashash, 2017 ). C’était une étude très bien conçue qui a découvert une forte association entre la quantité de fluorure dans l’urine des femmes enceinte (une mesure de leur exposition totale au fluorure) et un QI abaissé chez leur progéniture. Cette découverte a été répliquée en 2019 par des chercheurs canadiens (Green et al. 2019 ) dans un article d’importance publié dans la revue JAMA Pediatrics (lien au baladodiffusion). Une autre étude canadienne (Till, 2020 ) a trouvé un QI abaissé chez les enfants qui étaient au biberon dans les communautés florées versus les non-fluorées.” Richard Hudon, qui est à la tête du groupe Fluoridation-Free Ottawa, explique que “l’objectif primordial de notre campagne est d’inviter les gens à signer la lettre au Premier Ministre Trudeau . Nous sommes au courant qu’il n’a pas la juridiction sur la fluoration de l’eau mais il a la responsabilité du bien-être de tous les Canadiens, en particulier de nos enfants. Nous l’exhortons ainsi que tous les Premiers ministres à voir à ce que les autorités de la santé émettent un avertissement aux femmes enceintes et aux parents d’enfants nourris à la bouteille d’éviter l’eau fluorée.” Hudon a ajouté que “ce qui me fatigue c’est que les autorités canadiennes de la santé nous répétaient encore et encore que la fluoration était «sécuritaire et efficace», n’informent pas les citoyens au sujet de ces dangers. Elles semblent plus intéressées à protéger une politique que de protéger notre santé. C’est la raison pourquoi nous avons besoin que Trudeau intervienne maintenant—même durant une élection. Les cerveaux de nos enfants ne peuvent attendre une journée de plus.” Jennifer Marrett, la secrétaire provisoire du nouveau groupe, affirme, “Il y a plus que 3,000 communautés à travers le Canada et la vaste majorité n’ont jamais fluoré leur eau potable. Depuis 1990, 131 communautés et 3 bases militaires sont connues pour avoir soit discontinué ou rejeté un projet d’instauration de la fluoration de l’eau. On estime que 108 communautés à travers le Canada présentement fluorent artificiellement leur eau potable incluant un bon nombre de grandes villes urbaines du sud de l’Ontario. Maintenant, en tenant-compte de la nouvelle science préoccupante sur les dangers du fluorure sur le cerveau en développement, je prévois que davantage de communautés vont choisir de discontinuer la mesure de fluoration de l’eau.” On peut obtenir plus d’informations sur ce nouveau groupe Canada sans fluorure : www.canadasansfluorure.ca . Nous rejoindre : info@canadasansfluorure.ca

  • Endroits | CanadaSansFluorure

    Lire la suite... QUI FLUORENT ET QUI NE FLUORENT PAS ? En 2017, l'Agence de la santé publique du Canada estime qu'environ 13,9 millions de Canadiens (38,7 %) avaient accès à la fluoration de l'eau potable (via l’aqueduc). Le Canada est l'un des pays les plus fluorés au monde. En comparaison, moins de 5,7 % de la population mondiale a son approvisionnement public en eau fluorée. La plupart des nations développées du monde ont rejeté la fluoration, y compris 97 % de l'Europe de l’Ouest. Voici les communautés canadiennes qui ont rejeté la fluoration artificielle de l'eau depuis 1990 Voici les Communautés canadiennes qui fluorent Flags PAYS NON FLUORÉS PAYS FLUORÉS Les liens suivants fournissent un aperçu TRÈS intéressant quant à ce que font et disent les autres pays (en anglais) Déclarations des autorités européennes sur la fluoration de l'eau Le regretté Dr Hans Moolenburgh des Pays-Bas s'exprime (en anglais)

  • Fluorée | CanadaSansFluorure

    Communautés canadiennes qui fluorent On estime qu'il y a encore 170 municipalités au Canada qui fluorent leur eau potable municipale. Parmi les 170 communautés énumérées ci-dessous, 76 de ces municipalités sont situées en ONTARIO et comprennent la plupart des grandes villes urbaines telles que Toronto, des villes de la région du Grand Toronto, Ottawa, Hamilton et London. Les seules grandes villes urbaines des autres provinces qui fluorent leur eau potable municipale sont Edmonton, Halifax, Saskatoon et Winnipeg.

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